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Finance TechnologieMicrosoft est l’une des entreprises les plus performantes et les plus innovantes du monde. Grâce à sa stratégie centrée sur le cloud et l’intelligence artificielle (IA), le géant américain des services informatiques affiche des résultats financiers impressionnants et se rapproche de plus en plus d’Apple, la première capitalisation boursière mondiale.
L’intelligence artificielle est la capacité d’une machine ou d’un logiciel à réaliser des tâches qui nécessitent habituellement de l’intelligence humaine, comme la compréhension du langage, la reconnaissance d’images, la prise de décision ou l’apprentissage.
L’IA est un domaine en pleine expansion, porté par les progrès technologiques, la disponibilité des données et la demande croissante des entreprises et des consommateurs pour des solutions plus intelligentes, plus rapides et plus personnalisées.
Microsoft a fait de l’IA l’un de ses axes stratégiques majeurs, en investissant massivement dans la recherche, le développement et l’acquisition de technologies d’IA. Microsoft propose ainsi une gamme complète de services cloud basés sur l’IA, comme Azure AI, sa plateforme d’IA dans le cloud, ou OpenAI, son partenariat avec la célèbre organisation de recherche en IA.
Voici une vidéo relatant la position de Microsoft concernant l’IA :
Microsoft intègre également l’IA dans ses produits phares, comme Bing, son moteur de recherche, Office 365, sa suite bureautique, ou Windows 10, son système d’exploitation. Microsoft utilise notamment ChatGPT, une technologie d’IA générative issue d’OpenAI, qui permet de créer du contenu textuel à partir de mots-clés ou de phrases.
Microsoft dispose de plusieurs atouts qui lui confèrent un avantage concurrentiel dans le domaine de l’IA :
L’IA est un moteur de croissance pour Microsoft, qui se traduit par des résultats financiers exceptionnels. Au premier trimestre de son exercice 2023-2024 (juillet-septembre 2023), Microsoft a réalisé un chiffre d’affaires record de 56,5 milliards de dollars (+22% sur un an) et un bénéfice net de 19,9 milliards de dollars (+31% sur un an).
L’IA contribue notamment à la performance du segment Intelligent Cloud, qui regroupe les activités de cloud computing de Microsoft, dont Azure AI et OpenAI. Ce segment a généré 24,3 milliards de dollars de revenus au premier trimestre, en hausse de 30% sur un an. La croissance des revenus d’Azure a atteint 29%, contre 26% un an plus tôt.
L’IA booste également le segment Productivity and Business Processes, qui regroupe les produits comme Office 365, Dynamics 365 ou LinkedIn. Ce segment a affiché 18,4 milliards de dollars de revenus au premier trimestre, en progression de 22% sur un an. L’IA permet notamment d’enrichir les fonctionnalités des produits, comme la rédaction assistée dans Word ou la traduction automatique dans PowerPoint.
La valorisation boursière de Microsoft reflète son succès dans le domaine de l’IA. L’action Microsoft a atteint un nouveau record historique le 18 juillet 2023, à 366,78 dollars. Au 9 novembre 2023, l’action Microsoft cote 346,07 dollars, en hausse de 312% sur cinq ans, contre une progression de 42% pour le CAC 40 sur la même période.
Microsoft pèse ainsi plus de 2.690 milliards de dollars en Bourse, ce qui en fait la deuxième entreprise la plus valorisée au monde, derrière Apple, qui vaut plus de 2.800 milliards de dollars. Microsoft se rapproche donc peu à peu du sommet de la Bourse mondiale, grâce à sa stratégie centrée sur l’IA.
Oron Yacoby-Zeevi est le directeur scientifique de NeuroSense Therapeutics, une entreprise biotechnologique qui développe des traitements innovants pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la maladie d’Alzheimer. Il a plus de 20 ans d’expérience dans la conception et la direction de programmes de recherche et […]
Israël SantéOron Yacoby-Zeevi est le directeur scientifique de NeuroSense Therapeutics, une entreprise biotechnologique qui développe des traitements innovants pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et la maladie d’Alzheimer. Il a plus de 20 ans d’expérience dans la conception et la direction de programmes de recherche et de développement pharmaceutique dans divers domaines, notamment les maladies du système nerveux central. Il est également membre du conseil d’administration d’OWC Pharmaceutical Research, une société spécialisée dans le développement de produits à base de cannabis médical.
Oron Yacoby-Zeevi est titulaire d’un doctorat en pharmacologie et d’un diplôme vétérinaire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Il a commencé sa carrière comme chercheur au Centre médical Hadassah, où il a étudié les mécanismes moléculaires impliqués dans la neuroprotection et la neurodégénérescence. Il a ensuite rejoint Teva Pharmaceutical Industries, le plus grand fabricant de médicaments génériques au monde, en tant que directeur de projet senior. Il a été responsable du développement préclinique de plusieurs candidats-médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson, de la sclérose en plaques, de la douleur neuropathique et de l’épilepsie.
En 2016, Oron Yacoby-Zeevi a cofondé NeuroSense Therapeutics avec Alon Ben-Noon, un entrepreneur expérimenté dans le domaine des sciences de la vie. Leur objectif était de développer une nouvelle approche thérapeutique pour la SLA, une maladie neurodégénérative mortelle qui affecte les neurones moteurs responsables du contrôle des muscles. Ils ont mis au point un médicament appelé PrimeC, qui combine deux molécules ayant des effets bénéfiques sur la survie des neurones et la fonction musculaire. Le médicament a montré des résultats prometteurs dans des études précliniques et cliniques de phase I, et est actuellement en cours d’évaluation dans une étude clinique de phase II multicentrique en Israël et aux États-Unis.
Oron Yacoby-Zeevi est également impliqué dans le développement de produits à base de cannabis médical, qui ont un potentiel thérapeutique pour diverses maladies chroniques. Il est membre du conseil d’administration d’OWC Pharmaceutical Research, une société qui se concentre sur la recherche, le développement et la commercialisation de formulations innovantes de cannabis. Il supervise les activités scientifiques de la société, notamment l’étude des effets du cannabis sur les cellules cancéreuses, les maladies inflammatoires et les troubles du sommeil.
Oron Yacoby-Zeevi est animé par une passion pour la science et un désir d’améliorer la qualité de vie des patients souffrant de maladies incurables. Il croit au potentiel des approches multidisciplinaires et personnalisées pour trouver des solutions efficaces aux défis médicaux non résolus. Il est également engagé dans le transfert des connaissances scientifiques vers le public et les professionnels de la santé, à travers des publications, des conférences et des collaborations. Il est l’auteur ou le co-auteur de plus de 40 articles scientifiques dans des revues prestigieuses, tels que Nature Neuroscience, Journal of Neuroscience et Neurobiology of Disease.
Oron Yacoby-Zeevi espère que son médicament PrimeC sera approuvé par les autorités réglementaires et deviendra un traitement standard pour les patients atteints de SLA. Il souhaite également étendre son application à d’autres maladies neurodégénératives, comme la maladie d’Alzheimer, qui affectent des millions de personnes dans le monde. Il envisage également de poursuivre ses recherches sur le cannabis médical et d’explorer ses effets sur d’autres indications, comme l’anxiété, la dépression et le trouble du spectre de l’autisme. Il aspire à continuer à innover et à contribuer au progrès de la médecine et de la santé humaine.
Aharon Aharon est un nom qui résonne dans le monde de la haute technologie israélienne. Ce chef d’entreprise et ancien officier de l’armée de l’air est le directeur général de l’Autorité israélienne de l’innovation, l’agence gouvernementale chargée de soutenir et de promouvoir la recherche et […]
Innovation IsraëlAharon Aharon est un nom qui résonne dans le monde de la haute technologie israélienne. Ce chef d’entreprise et ancien officier de l’armée de l’air est le directeur général de l’Autorité israélienne de l’innovation, l’agence gouvernementale chargée de soutenir et de promouvoir la recherche et le développement dans le pays. Son parcours exemplaire illustre la réussite du modèle israélien, fondé sur l’excellence scientifique, l’esprit d’entreprise et la coopération entre les secteurs public et privé.
Aharon Aharon est né en 1955 à Tel-Aviv, dans une famille originaire du Maroc. Il grandit dans un quartier populaire et suit des études secondaires au lycée Herzliya, où il se distingue par ses aptitudes en mathématiques et en physique. Il intègre ensuite la prestigieuse université hébraïque de Jérusalem, où il obtient une licence en mathématiques et en informatique.
En parallèle de ses études, il effectue son service militaire obligatoire dans l’armée de l’air israélienne, où il occupe des postes à responsabilité dans le domaine du renseignement et des systèmes d’information. Il participe notamment à la conception et à la mise en œuvre du système informatique qui a permis à Israël de détruire le réacteur nucléaire irakien d’Osirak en 1981.
Après son service militaire, il poursuit sa carrière dans l’armée de l’air en tant que réserviste, tout en reprenant ses études à l’université hébraïque. Il y décroche un master en administration des affaires, puis un doctorat en informatique, avec une thèse portant sur les algorithmes d’optimisation.
Fort de ses compétences académiques et militaires, Aharon Aharon se lance dans le monde des affaires en 1987, en rejoignant la société Elbit Systems, un leader mondial de l’électronique de défense. Il y occupe le poste de directeur du développement logiciel, puis devient vice-président exécutif chargé des systèmes d’information.
En 1993, il quitte Elbit Systems pour fonder sa propre entreprise, State of the Art (SOTA), spécialisée dans le développement de logiciels pour les systèmes embarqués. Il dirige SOTA pendant six ans, jusqu’à sa vente à la société américaine Cadence Design Systems en 1999.
Il rejoint alors Cadence Design Systems en tant que vice-président senior et directeur général pour Israël. Il y supervise les activités de recherche et développement, ainsi que les acquisitions stratégiques de la société dans le pays. Il contribue ainsi à faire de Cadence Design Systems un acteur majeur du secteur des logiciels pour la conception électronique.
En 2006, il quitte Cadence Design Systems pour rejoindre Apple, le géant américain de l’informatique et des télécommunications. Il y occupe le poste de directeur général pour Israël, avec pour mission de développer les activités d’Apple dans le pays. Il est notamment responsable du recrutement et du management des équipes locales, ainsi que de la coordination avec les centres de recherche et développement d’Apple aux États-Unis. Il participe également à l’intégration des sociétés israéliennes acquises par Apple, comme Anobit, PrimeSense ou LinX.
En 2017, après plus de dix ans chez Apple, Aharon Aharon décide de relever un nouveau défi : celui de diriger l’Autorité israélienne de l’innovation (AII), l’agence gouvernementale chargée de soutenir et de promouvoir la recherche et le développement dans le pays.
L’AII est née en 2016 de la transformation du Bureau du scientifique en chef (BSC), qui existait depuis 1974. L’AII dispose d’un budget annuel de plus d’un milliard de shekels (environ 250 millions d’euros) et d’une équipe de plus de 200 employés. Son rôle est de financer des projets innovants dans tous les domaines de la science et de la technologie, de favoriser la coopération entre les acteurs de l’écosystème israélien de l’innovation (universités, instituts de recherche, entreprises, incubateurs, accélérateurs, fonds d’investissement, etc.), et de renforcer les liens entre Israël et les marchés internationaux.
Sous la direction d’Aharon Aharon, l’AII a lancé plusieurs initiatives visant à renforcer la compétitivité et la diversité de l’innovation israélienne. Parmi celles-ci, on peut citer :
Aharon Aharon est également impliqué dans le développement de la coopération internationale en matière d’innovation. Il a notamment signé des accords avec des pays comme la France, l’Allemagne, le Japon, l’Inde ou le Brésil, pour soutenir des projets conjoints entre des entreprises et des instituts de recherche israéliens et étrangers.
Aharon Aharon est considéré comme l’un des pionniers et des leaders de l’innovation israélienne. Il bénéficie d’une grande expérience et d’une large vision du secteur de la haute technologie, acquises au cours de sa carrière dans le domaine militaire, académique et entrepreneurial. Il dispose également d’un solide réseau professionnel et personnel, tant en Israël qu’à l’étranger.
Aharon Aharon est reconnu pour ses qualités humaines et managériales. Il est décrit comme un homme humble, intègre, passionné et visionnaire. Il sait écouter, motiver et inspirer ses collaborateurs. Il est également apprécié pour son sens du service public et son engagement en faveur du développement économique et social d’Israël.
Aharon Aharon est marié et père de trois enfants. Il vit à Herzliya, une ville située au nord de Tel-Aviv. Il aime voyager, lire et faire du sport.
Omri Casspi est un ancien joueur de basket-ball professionnel israélien, qui a évolué pendant 10 saisons dans la prestigieuse ligue américaine de la NBA. Il a été le premier joueur israélien à être sélectionné au premier tour de la draft de la NBA, et le […]
IsraëlOmri Casspi est un ancien joueur de basket-ball professionnel israélien, qui a évolué pendant 10 saisons dans la prestigieuse ligue américaine de la NBA. Il a été le premier joueur israélien à être sélectionné au premier tour de la draft de la NBA, et le premier Israélien à jouer dans un match de NBA. Il a également représenté son pays avec l’équipe nationale d’Israël, participant à plusieurs championnats d’Europe. Après avoir pris sa retraite sportive en 2021, il s’est lancé dans le monde des affaires, en créant un fonds d’investissement dédié aux startups technologiques.
Omri Casspi est né le 22 juin 1988 à Holon, en Israël. Il est issu d’une famille juive d’origine marocaine, et porte le nom de son grand-père maternel, Moshe, en hommage. Il commence à jouer au basket-ball dès son plus jeune âge, et intègre les équipes de jeunes du Maccabi Tel-Aviv, le club le plus titré du pays. Il fait ses débuts professionnels à l’âge de 17 ans avec l’équipe senior du Maccabi, lors de la saison 2005-2006. Il remporte alors le championnat israélien et la coupe d’Israël.
En 2006, il est prêté à l’Hapoël Galil Elyon, où il se révèle comme l’un des meilleurs espoirs du basket-ball israélien. Il obtient en moyenne 11,1 points et 3,1 rebonds par match, et participe au Nike Hoop Summit de Memphis, où il marque 14 points pour l’équipe mondiale face aux meilleurs joueurs américains de sa génération.
Il retourne au Maccabi pour la saison 2007-2008, et contribue à la qualification du club pour le Final Four de l’Euroligue, la plus prestigieuse compétition européenne. Il reçoit le prix du meilleur sixième homme du championnat israélien en 2008, avec des moyennes de 10,4 points et 4 rebonds par match.
En 2008, Omri Casspi se déclare éligible pour la draft de la NBA, mais il se retire avant la date limite, faute d’avoir obtenu une garantie d’être choisi au premier tour par une franchise. Il retente sa chance l’année suivante, et réalise son rêve le 25 juin 2009, en étant sélectionné en 23ᵉ position par les Kings de Sacramento. Il devient ainsi le premier joueur israélien à être drafté au premier tour de la NBA, et le premier Israélien à jouer dans un match de NBA.
Voici une vidéo présentant ce joueur :
Il fait ses débuts avec les Kings le 28 octobre 2009, face aux Thunder d’Oklahoma City. Il marque 15 points et prend 10 rebonds, réalisant un double-double pour sa première apparition. Il confirme son potentiel tout au long de sa saison rookie, avec des moyennes de 12,6 points et 4,5 rebonds par match. Il est choisi pour participer au Rookie Challenge du All-Star Weekend, où il marque 18 points pour l’équipe des rookies internationaux.
Il reste deux saisons supplémentaires à Sacramento, avant d’être transféré aux Cavaliers de Cleveland en juin 2011. Il y joue pendant deux ans également, sans réussir à s’imposer comme un titulaire indiscutable. En juillet 2013, il signe avec les Rockets de Houston, où il retrouve un rôle plus important dans la rotation. En décembre 2013, il établit son record personnel en NBA avec 34 points marqués face aux Kings.
En juillet 2014, il est impliqué dans un échange à trois équipes qui l’envoie aux Pelicans de La Nouvelle-Orléans, mais il est coupé par la franchise avant le début de la saison. Il décide alors de revenir à Sacramento, où il signe un contrat de deux ans. Il retrouve ses meilleures statistiques avec les Kings, avec des moyennes de 11,8 points et 5,9 rebonds par match lors de la saison 2015-2016.
En février 2017, il est à nouveau échangé aux Pelicans, en compagnie de son coéquipier et ami DeMarcus Cousins. Il ne joue que deux matchs avec les Pelicans, avant d’être libéré par la franchise. Il rejoint alors les Timberwolves du Minnesota, où il termine la saison.
En juillet 2017, il signe avec les Warriors de Golden State, champions en titre de la NBA. Il espère ainsi remporter son premier titre, mais il se blesse au dos en avril 2018, et manque les playoffs. Il est libéré par les Warriors en juillet 2018.
Il rebondit chez les Grizzlies de Memphis, où il signe un contrat d’un an. Il y joue 36 matchs, avec des moyennes de 6,3 points et 3,2 rebonds par match, avant d’être coupé par la franchise en février 2019.
Après avoir passé 10 saisons en NBA, Omri Casspi décide de rentrer en Israël en juillet 2019. Il signe un contrat de trois ans avec le Maccabi Tel-Aviv, le club de ses débuts. Il y retrouve son ancien entraîneur au Maccabi et aux Kings, David Blatt, qui souffre d’une sclérose en plaques.
Il remporte le championnat israélien et la coupe d’Israël en 2020, puis à nouveau la coupe d’Israël en 2021. Il annonce sa retraite sportive en juillet 2021, à l’âge de 33 ans.
Il se consacre alors à sa nouvelle carrière dans le monde des affaires. Il crée un fonds d’investissement dédié aux startups technologiques, baptisé Casspi Ventures. Il dispose d’un capital de 50 millions de dollars, et vise à soutenir des projets innovants dans les domaines de la santé, du sport, du divertissement ou encore de l’éducation.
Il s’appuie sur son expérience d’investisseur individuel, qu’il a acquise pendant sa carrière en NBA. Il a notamment investi dans des sociétés comme DocuSign, DayTwo ou encore OurCrowd.
Il s’implique également dans des causes humanitaires et sociales. Il est le fondateur de la fondation Omri Casspi, qui vise à aider les enfants défavorisés en Israël. Il organise également des voyages en Israël pour ses coéquipiers et amis de la NBA, afin de leur faire découvrir son pays et sa culture.
Omri Casspi est sans conteste le joueur israélien le plus célèbre et le plus accompli de l’histoire du basket-ball. Il a réussi à se faire une place dans la meilleure ligue du monde, la NBA, et à y briller pendant une décennie. Il a également porté haut les couleurs de son pays avec l’équipe nationale d’Israël, participant à six championnats d’Europe entre 2008 et 2017.
Il a été un ambassadeur du basket-ball israélien et du sport israélien en général, faisant connaître son pays et sa culture à travers le monde. Il a été un modèle pour de nombreux jeunes basketteurs israéliens, qui rêvent de suivre ses traces.
Il a également été un acteur engagé dans la société israélienne, soutenant des causes qui lui tiennent à cœur. Il a montré qu’il était possible de concilier une carrière sportive de haut niveau et une carrière entrepreneuriale réussie.
Omri Casspi restera comme une légende du basket-ball israélien, et comme un exemple pour les générations futures.
Ariel Sharon est l’un des personnages les plus marquants de l’histoire d’Israël. Général de renom, ministre de plusieurs portefeuilles, fondateur du parti Kadima et Premier ministre de 2001 à 2006, il a joué un rôle clé dans les guerres israélo-arabes, la politique de colonisation et […]
IsraëlAriel Sharon est l’un des personnages les plus marquants de l’histoire d’Israël. Général de renom, ministre de plusieurs portefeuilles, fondateur du parti Kadima et Premier ministre de 2001 à 2006, il a joué un rôle clé dans les guerres israélo-arabes, la politique de colonisation et le retrait unilatéral de la bande de Gaza. Il est aussi l’un des dirigeants israéliens les plus controversés, accusé de responsabilité indirecte dans le massacre de Sabra et Chatila et de provoquer la seconde Intifada par sa visite sur l’esplanade des Mosquées. Retour sur la vie et l’œuvre d’Ariel Sharon, surnommé “Arik”, “le Lion du désert” ou encore “le Bulldozer”.
Ariel Sharon est né le 26 février 1928 à Kfar Malal, un village agricole situé au nord de Tel-Aviv, dans la Palestine sous mandat britannique. Ses parents sont des immigrants juifs originaires de Biélorussie, qui ont fui les pogroms et l’antisémitisme en Europe. Ariel grandit dans une atmosphère sioniste et nationaliste, bercé par les récits de son père sur les combats contre les Arabes et les Britanniques. Il reçoit une éducation religieuse et apprend l’hébreu, le yiddish et le russe.
Voici une vidéo présentant cet homme politique :
Dès son adolescence, il s’engage dans la lutte pour la création d’un État juif. Il rejoint la Haganah, l’organisation paramilitaire juive, à l’âge de 14 ans. Il participe à des opérations de sabotage et de renseignement contre les forces britanniques et arabes. En 1947, il devient commandant d’une section de la brigade Alexandroni, qui combat pendant la guerre israélo-arabe de 1948-1949. Il est blessé à plusieurs reprises au cours du conflit, qui aboutit à la proclamation de l’indépendance d’Israël.
Après la guerre, Ariel Sharon poursuit sa carrière militaire au sein de l’armée israélienne. Il se distingue par son audace, son charisme et son sens tactique. Il est le fondateur et le chef de l’unité 101, une unité spéciale chargée de mener des raids de représailles contre les infiltrations arabes en Israël. En 1953, il dirige l’opération Shoshana, qui fait plus de 60 morts dans le village jordanien de Qibya. L’attaque provoque un tollé international et est condamnée par l’ONU.
En 1956, il participe à la guerre de Suez aux côtés des forces françaises et britanniques. Il commande une brigade parachutiste qui traverse le désert du Sinaï et atteint le canal de Suez. Il est décoré pour son exploit militaire. En 1967, il est nommé général et prend le commandement du front sud lors de la guerre des Six Jours. Il joue un rôle décisif dans la conquête du Sinaï égyptien.
En 1973, il est rappelé du service actif pour participer à la guerre du Kippour. Il commande une division blindée qui traverse le canal de Suez et encercle la troisième armée égyptienne. Il contribue ainsi à renverser le cours de la guerre en faveur d’Israël. Il devient un héros national et acquiert une grande popularité.
Après sa retraite militaire en 1974, Ariel Sharon se lance dans la politique. Il cofonde le parti Likoud, qui rassemble les forces nationalistes et conservatrices opposées au Parti travailliste. Il est élu député à la Knesset en 1977 et devient ministre de l’Agriculture dans le gouvernement de Menahem Begin. Il est le principal promoteur de la politique de colonisation des territoires occupés en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Il affirme que ces territoires font partie du “Grand Israël” et qu’ils sont nécessaires à la sécurité d’Israël.
En 1981, il devient ministre de la Défense. Il est l’architecte de l’invasion du Liban en 1982, qui vise à chasser l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) de Beyrouth. L’opération, baptisée “Paix en Galilée”, se transforme en une guerre longue et coûteuse, qui fait des milliers de victimes civiles. En septembre 1982, Ariel Sharon est impliqué dans le massacre de Sabra et Chatila, un camp de réfugiés palestiniens à Beyrouth, où des milices chrétiennes libanaises alliées à Israël tuent entre 800 et 3 500 personnes. Une commission d’enquête israélienne conclut à la responsabilité indirecte d’Ariel Sharon, qui aurait laissé faire les massacres. Il est contraint de démissionner de son poste de ministre de la Défense.
Ariel Sharon reste cependant un acteur influent de la scène politique israélienne. Il occupe plusieurs postes ministériels dans les gouvernements successifs du Likoud, notamment celui des Affaires étrangères de 1998 à 1999. Il continue à soutenir la colonisation et à s’opposer aux accords de paix avec les Palestiniens.
En 1999, Ariel Sharon devient le chef du Likoud, après la défaite du Premier ministre Benyamin Netanyahou face au travailliste Ehud Barak. En septembre 2000, il provoque un séisme politique en se rendant sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, un lieu saint pour les musulmans et les juifs, accompagné d’un important dispositif sécuritaire. Sa visite est perçue comme une provocation par les Palestiniens, qui déclenchent la seconde Intifada, une révolte populaire contre l’occupation israélienne.
En février 2001, Ariel Sharon remporte largement l’élection au poste de Premier ministre face à Ehud Barak. Il forme un gouvernement d’union nationale avec le Parti travailliste. Il adopte une ligne dure face à l’Intifada, qu’il réprime par la force militaire. Il ordonne l’assassinat du chef du Hamas Ahmed Yassine en 2004 et le retrait des troupes israéliennes de la bande de Gaza en 2005. Il rompt avec le Likoud et fonde le parti Kadima, qui se veut centriste et pragmatique.
En janvier 2006, Ariel Sharon est victime d’une grave attaque cérébrale qui le plonge dans le coma. Il est remplacé par son adjoint Ehud Olmert, qui remporte les élections législatives de mars 2006. Ariel Sharon reste dans le coma jusqu’à sa mort, le 11 janvier 2014.
Ariel Sharon laisse derrière lui un bilan contrasté. Il est considéré par ses partisans comme un grand homme d’État, qui a défendu les intérêts d’Israël avec courage et détermination. Il est salué pour avoir pris des décisions difficiles, comme le retrait de Gaza ou la création du parti Kadima, qui ont ouvert la voie à une possible solution au conflit israélo-palestinien.
Il est en revanche détesté par ses adversaires, qui lui reprochent ses crimes de guerre, sa politique expansionniste et son mépris du droit international. Il est vu comme un obstacle à la paix et à la justice, qui a alimenté la haine et la violence entre les peuples. Il est surnommé “le Boucher de Beyrouth” par les Arabes et “le Roi d’Israël” par ses détracteurs israéliens.
Ariel Sharon reste une figure emblématique et controversée de l’histoire d’Israël. Il a marqué son époque par sa personnalité forte, son parcours exceptionnel et ses choix stratégiques. Il a changé le visage d’Israël et influencé le destin du Moyen-Orient.
Le 7 octobre 2023 restera comme une date noire dans l’histoire d’Israël. Ce jour-là, le mouvement islamiste du Hamas a lancé une attaque surprise contre le territoire israélien, faisant des dizaines de morts et de blessés parmi les civils et les militaires. Une attaque qui […]
Actualité IsraëlLe 7 octobre 2023 restera comme une date noire dans l’histoire d’Israël. Ce jour-là, le mouvement islamiste du Hamas a lancé une attaque surprise contre le territoire israélien, faisant des dizaines de morts et de blessés parmi les civils et les militaires. Une attaque qui a révélé les failles de la sécurité et du renseignement israéliens, mais aussi l’incurie du gouvernement dirigé par Benyamin Netanyahu, le Premier ministre le plus longtemps au pouvoir dans le pays.
Benyamin Netanyahu, surnommé “Bibi”, est né en 1949 à Tel Aviv. Il est le fils de Benzion Netanyahu, un historien sioniste et militant du mouvement révisionniste de Zeev Jabotinsky. Il passe une partie de son enfance aux États-Unis, où il acquiert la maîtrise de l’anglais et un goût pour la politique. Il effectue son service militaire dans l’unité d’élite Sayeret Matkal, où il participe à plusieurs opérations secrètes, dont l’opération Entebbe en 1976, qui libère des otages d’un avion détourné par des terroristes.
Il entame ensuite une carrière diplomatique, qui le conduit à être ambassadeur d’Israël aux Nations unies de 1984 à 1988. Il se lance ensuite dans la politique intérieure, en rejoignant le Likoud, le parti de droite nationaliste. Il devient député en 1988, puis ministre des Affaires étrangères en 1996. La même année, il est élu Premier ministre pour la première fois, à la tête d’une coalition de droite et de religieux. Il mène une politique dure face aux Palestiniens, tout en acceptant de signer les accords de Wye Plantation avec Yasser Arafat en 1998, qui prévoient un retrait partiel d’Israël de la Cisjordanie.
Il perd les élections de 1999 face à Ehud Barak, du Parti travailliste, et se retire temporairement de la vie politique. Il revient en 2002 comme ministre des Affaires étrangères, puis des Finances, sous le gouvernement d’Ariel Sharon. Il démissionne en 2005 pour protester contre le plan de retrait unilatéral de Gaza. Il reprend la tête du Likoud en 2006 et devient chef de l’opposition.
Voici une vidéo présentant cet homme politique :
En 2009, il est à nouveau élu Premier ministre, à la tête d’une coalition hétéroclite qui rassemble la droite, les religieux et les centristes. Il se maintient au pouvoir malgré plusieurs crises politiques et sociales, en jouant sur sa popularité et sa réputation de “Monsieur Sécurité”. Il se rapproche de l’extrême droite et des colons, tout en s’opposant fermement à l’Iran et à son programme nucléaire. Il noue aussi des relations inédites avec plusieurs pays arabes, comme les Émirats arabes unis ou le Bahreïn.
En 2019, il est mis en examen pour corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires différentes. Il nie les faits qui lui sont reprochés et dénonce une “chasse aux sorcières” orchestrée par ses ennemis politiques et les médias. Il reste au pouvoir malgré quatre élections législatives successives qui n’ont pas permis de dégager une majorité claire au Parlement. En décembre 2022, il forme un gouvernement avec son rival Benny Gantz, du parti centriste Bleu-Blanc, dans le cadre d’un accord de rotation qui prévoit qu’il cède le poste de Premier ministre à Gantz après 18 mois.
Le Hamas est un mouvement islamiste palestinien qui contrôle la bande de Gaza depuis 2007, après avoir évincé le Fatah, le parti laïc et modéré du président Mahmoud Abbas. Le Hamas est considéré comme une organisation terroriste par Israël, les États-Unis et l’Union européenne. Il prône la destruction d’Israël et la création d’un État islamique sur toute la Palestine historique.
Le Hamas a mené plusieurs attaques contre Israël, notamment des tirs de roquettes et des attentats-suicides. Israël a riposté par des opérations militaires, comme l’opération Plomb durci en 2008-2009, l’opération Pilier de défense en 2012 ou l’opération Bordure protectrice en 2014, qui ont fait des milliers de morts et de blessés, principalement des civils palestiniens.
Le 7 octobre 2023, le Hamas a lancé une attaque d’une ampleur inédite contre Israël, en utilisant des drones kamikazes chargés d’explosifs. Les drones ont visé des cibles stratégiques, comme des bases militaires, des centrales électriques, des aéroports ou des installations nucléaires. L’attaque a surpris les défenses israéliennes, qui n’ont pas réussi à intercepter tous les drones. Le bilan est lourd : plus de 200 morts et 500 blessés côté israélien, dont des soldats, des politiciens et des personnalités publiques.
Les causes de l’attaque du Hamas sont multiples. D’une part, le Hamas a voulu profiter de la faiblesse du gouvernement israélien, divisé et affaibli par les scandales de corruption impliquant Netanyahu. D’autre part, le Hamas a voulu réagir à la normalisation des relations entre Israël et certains pays arabes, qu’il considère comme une trahison de la cause palestinienne. Enfin, le Hamas a voulu démontrer sa capacité à frapper Israël malgré le blocus imposé par ce dernier à Gaza depuis 2007.
L’attaque du Hamas a provoqué un choc et une colère en Israël. Le pays se sent vulnérable et trahi par son gouvernement, qui n’a pas su assurer sa sécurité. La population réclame des comptes et des sanctions contre les responsables de ce qu’elle considère comme un désastre national.
Netanyahu est le premier visé par les critiques. Il est accusé d’avoir négligé les questions de défense et les problèmes de Gaza au profit d’une révision de la justice israélienne destinée à échapper aux procès qui le concernent. Il est aussi reproché d’avoir affaibli l’armée et les services de renseignement en les soumettant à son agenda politique. Il est enfin soupçonné d’avoir ignoré les alertes lancées peu avant la tragédie.
Netanyahu refuse d’assumer sa responsabilité et rejette la faute sur ses adversaires politiques, sur les médias ou sur les juges. Il affirme que son gouvernement a agi avec détermination et courage face au Hamas et qu’il continuera à défendre Israël contre ses ennemis. Il appelle à l’unité nationale et au soutien à l’armée, qui mène une opération terrestre à Gaza pour détruire le Hamas.
Mais son discours ne convainc pas. L’opposition réclame sa démission immédiate et la formation d’un gouvernement d’union nationale. Les manifestations se multiplient dans les rues pour exiger son départ. Les sondages montrent que sa popularité est en chute libre. Même au sein de son propre parti, le Likoud, des voix s’élèvent pour demander son remplacement.
Netanyahu est-il sur le point de tomber ? Rien n’est moins sûr. Le Premier ministre israélien a montré par le passé sa capacité à survivre aux crises politiques et à rebondir. Il dispose encore d’une base électorale fidèle et d’alliés solides au sein de la coalition gouvernementale. Il peut aussi compter sur le soutien indéfectible du président américain Donald Trump, qui lui a exprimé sa solidarité et son amitié.
Mais il est clair que Netanyahu traverse la période la plus difficile de sa carrière politique.
L’industrie alimentaire est en pleine mutation. Face à des consommateurs de plus en plus exigeants, curieux et soucieux de leur santé, les entreprises doivent innover, se différencier et anticiper les tendances. Mais comment faire pour rester à la pointe dans un marché si dynamique et […]
Business InnovationL’industrie alimentaire est en pleine mutation. Face à des consommateurs de plus en plus exigeants, curieux et soucieux de leur santé, les entreprises doivent innover, se différencier et anticiper les tendances. Mais comment faire pour rester à la pointe dans un marché si dynamique et concurrentiel ?
C’est là qu’intervient Tastewise Technologies, une start-up israélienne fondée en 2017 et basée à Tel Aviv, qui dispose d’une plateforme alimentée par l’IA qui utilise l’apprentissage informatique pour prédire les tendances alimentaires en parcourant les menus et des milliards de publications, de photos et de recettes sur les réseaux sociaux. Elle aide les entreprises à mesurer et à anticiper la façon dont les consommateurs cuisinent, commandent et mangent en utilisant l’IA.
Tastewise Technologies offre aux acteurs du secteur alimentaire une solution complète et personnalisée pour optimiser leur stratégie marketing, leur innovation produit et leur performance commerciale. Grâce à sa plateforme, les entreprises peuvent :
Voici une vidéo présentant cette technologie en anglais :
Tastewise Technologies utilise une technologie unique appelée GenAI, qui combine l’expertise alimentaire et des données exclusives. La plateforme analyse plus d’un million de menus de restaurants et de services de livraison, 22 milliards d’interactions sociales et 5 millions de recettes à domicile, provenant de sources variées comme Instagram, Pinterest, TikTok ou Yelp.
En utilisant des algorithmes d’apprentissage automatique avancés, la plateforme détecte les signaux faibles, les patterns et les anomalies dans les données, et les transforme en insights actionnables. Elle utilise également la génération automatique de texte par l’IA pour produire du contenu marketing pertinent et engageant.
La plateforme est accessible via une interface web intuitive et personnalisable, qui permet aux utilisateurs de poser des questions en langage naturel, d’explorer les données visuellement et d’accéder à des rapports détaillés. Elle propose également des solutions d’intégration avec des outils tiers comme Salesforce ou HubSpot.
Tastewise Technologies compte parmi ses clients des marques mondiales du secteur alimentaire comme PepsiCo, KraftHeinz, Nestlé, Mars ou Givaudan. La start-up leur permet de gagner du temps, de réduire les coûts et d’améliorer leur retour sur investissement.
Par exemple, Campbell’s utilise Tastewise Technologies pour accélérer son processus d’innovation, de la vision à l’exécution en passant par le positionnement de la marque. La start-up lui fournit des insights 10 fois plus rapides que les méthodes traditionnelles.
Un autre exemple est Ferrero, qui utilise Tastewise Technologies pour créer du contenu marketing personnalisé pour ses produits comme Nutella ou Kinder. La start-up lui fournit des suggestions de texte généré par l’IA, adaptées aux tendances et aux besoins des consommateurs.
Tastewise Technologies a levé 17 millions de dollars en mars 2022 lors d’un tour de financement de série A mené par PeakBridge et PICO Venture Partners. La start-up compte utiliser ces fonds pour renforcer son équipe, développer sa technologie et étendre sa présence à l’international.
La start-up ambitionne de devenir la plateforme de référence pour le secteur alimentaire, en offrant une solution complète et intégrée pour l’innovation, le marketing et les ventes. Elle vise également à démocratiser l’accès aux insights consommateurs, en les rendant accessibles à tous les acteurs du marché, des grandes marques aux petites entreprises.
Tastewise Technologies est donc une start-up à suivre de près, qui révolutionne le secteur alimentaire grâce à l’IA. Elle apporte une valeur ajoutée aux entreprises, en leur permettant de mieux comprendre et satisfaire les consommateurs, et de se démarquer dans un marché en constante évolution.
La cybersécurité est un secteur stratégique et en pleine croissance, face aux menaces de plus en plus sophistiquées et fréquentes qui visent les systèmes informatiques. Parmi les acteurs innovants de ce domaine, on trouve OX Security, une jeune entreprise de cybersécurité basée à Tel-Aviv et […]
Business TechnologieLa cybersécurité est un secteur stratégique et en pleine croissance, face aux menaces de plus en plus sophistiquées et fréquentes qui visent les systèmes informatiques. Parmi les acteurs innovants de ce domaine, on trouve OX Security, une jeune entreprise de cybersécurité basée à Tel-Aviv et fondée par d’anciens responsables de Check Point Software, le leader mondial des solutions de sécurité réseau.
OX Security a développé un système de sécurité de la chaîne d’approvisionnement des logiciels qui protège tous les processus impliqués dans le développement, le déploiement et la distribution des logiciels avant qu’ils n’atteignent les clients. Ce système permet de détecter et de prévenir les attaques qui visent à compromettre ou à altérer les logiciels à la source, en utilisant des techniques d’analyse, de vérification et de cryptographie.
La sécurité de la chaîne d’approvisionnement des logiciels est l’ensemble des mesures visant à assurer l’intégrité, la confidentialité et la disponibilité des logiciels tout au long de leur cycle de vie, depuis leur conception jusqu’à leur utilisation finale. Elle concerne aussi bien les développeurs, les fournisseurs, les distributeurs que les utilisateurs des logiciels.
La chaîne d’approvisionnement des logiciels est exposée à de nombreux risques, tels que :
La sécurité de la chaîne d’approvisionnement des logiciels est donc essentielle pour garantir la qualité, la fiabilité et la performance des logiciels, ainsi que pour protéger les intérêts et la réputation des acteurs impliqués.
Voici une vidéo en anglais présentant cet outil :
Le système d’OX Security repose sur trois piliers :
Le système d’OX Security offre plusieurs avantages aux acteurs de la chaîne d’approvisionnement des logiciels :
OX Security est une start-up qui a été fondée en 2020 par d’anciens responsables de Check Point Software, une entreprise israélienne pionnière dans le domaine de la sécurité réseau. Parmi les fondateurs, on trouve :
OX Security bénéficie du soutien de plusieurs investisseurs de renom, comme Sequoia Capital, Bessemer Venture Partners ou Lightspeed Venture Partners. Elle a levé 20 millions de dollars lors de son tour de financement initial en 2020.
OX Security compte parmi ses clients des entreprises de premier plan dans divers secteurs, comme la finance, la santé, l’éducation ou l’énergie. Elle leur fournit des solutions sur mesure adaptées à leurs besoins et à leurs exigences.
OX Security a pour ambition de devenir un leader mondial dans le domaine de la sécurité de la chaîne d’approvisionnement des logiciels. Elle prévoit de :
OX Security est donc une start-up prometteuse qui apporte une valeur ajoutée aux acteurs de la chaîne d’approvisionnement des logiciels. Elle contribue à renforcer la sécurité, la qualité et la confiance des logiciels, tout en réduisant les coûts et les risques. Elle s’inscrit dans l’écosystème dynamique et innovant de la cybersécurité israélienne, qui est reconnu comme un modèle à suivre dans le monde entier.
L’hydrogène est considéré comme l’un des vecteurs énergétiques les plus prometteurs pour la transition vers une économie bas carbone. Il permet de produire de l’électricité sans émettre de gaz à effet de serre, à condition qu’il soit produit à partir de sources renouvelables. Toutefois, l’hydrogène […]
Business InnovationL’hydrogène est considéré comme l’un des vecteurs énergétiques les plus prometteurs pour la transition vers une économie bas carbone. Il permet de produire de l’électricité sans émettre de gaz à effet de serre, à condition qu’il soit produit à partir de sources renouvelables. Toutefois, l’hydrogène présente aussi des défis majeurs en termes de stockage et de transport, car il est très volatil, inflammable et nécessite des infrastructures spécifiques.
C’est là qu’intervient Electriq Global, une start-up basée à Tirat Hacarmel, en Israël, qui a mis au point une nouvelle méthode de séparation de l’hydrogène de l’eau pour créer une énergie renouvelable alternative au carburant. Son carburant zéro émission est inerte, sûr, économe en énergie, facile à transporter, recyclable et d’une densité énergétique supérieure.
Le carburant d’Electriq Global est composé d’eau et d’un catalyseur organique appelé BH4 (tétrahydroborate). Lorsque le carburant est injecté dans un réacteur, il libère de l’hydrogène qui alimente une pile à combustible pour produire de l’électricité. Le catalyseur est ensuite récupéré et régénéré à partir d’eau et d’électricité renouvelable, ce qui permet de recycler le carburant indéfiniment.
Selon Electriq Global, son carburant présente plusieurs avantages par rapport à l’hydrogène conventionnel :
Electriq Global vise principalement les marchés du transport et de la production d’électricité hors réseau. La start-up a déjà réalisé plusieurs démonstrations de son carburant dans des véhicules électriques, des générateurs portables et des grues mobiles. Elle prévoit également de développer des solutions pour les bateaux, les trains, les avions et les camions.
Electriq Global affirme que son carburant peut réduire les émissions de CO2 de 80 % par rapport aux carburants fossiles, tout en offrant une autonomie et une performance similaires. La start-up espère ainsi contribuer à accélérer la transition vers une mobilité durable et décarbonée.
Electriq Global fait face à une forte concurrence dans le domaine de l’hydrogène, qui attire de plus en plus d’acteurs innovants et d’investissements. La start-up devra donc convaincre les utilisateurs potentiels de son carburant, tant sur le plan technique qu’économique. Elle devra également surmonter les barrières réglementaires et les normes de sécurité liées à l’utilisation de l’hydrogène.
Pour relever ces défis, Electriq Global mise sur sa technologie brevetée et son modèle d’affaires basé sur le partenariat. La start-up ne vend pas son carburant directement aux consommateurs, mais le fournit aux opérateurs locaux qui assurent la distribution et la régénération. Elle compte ainsi créer un réseau mondial de partenaires qui partageront sa vision et ses valeurs.
Electriq Global a déjà noué des collaborations avec des entreprises en Australie, aux Pays-Bas, en Allemagne, au Japon et en Inde. Elle prévoit de lancer son carburant sur le marché en 2024, après avoir achevé la construction de sa nouvelle usine à Tirat Hacarmel, qui lui permettra de produire 100 tonnes de carburant par jour.
La fécondation in vitro (FIV) est une technique de procréation médicalement assistée (PMA) qui consiste à féconder un ovule avec un spermatozoïde en laboratoire, puis à transférer l’embryon obtenu dans l’utérus de la femme. La FIV est une option pour les couples ou les personnes […]
Business InnovationLa fécondation in vitro (FIV) est une technique de procréation médicalement assistée (PMA) qui consiste à féconder un ovule avec un spermatozoïde en laboratoire, puis à transférer l’embryon obtenu dans l’utérus de la femme. La FIV est une option pour les couples ou les personnes qui ont des difficultés à concevoir naturellement, mais elle n’est pas sans risques ni sans coûts. En effet, la FIV implique des traitements hormonaux, des interventions chirurgicales, des examens médicaux et des procédures complexes qui peuvent avoir des effets secondaires, des complications ou des échecs. De plus, la FIV est souvent coûteuse et non remboursée par les assurances ou les systèmes de santé.
C’est pourquoi une start-up israélienne, AIVF, a développé la première plateforme logicielle commercialisée pour les cliniques de FIV qui applique la science des données et l’intelligence artificielle (IA) pour rendre le processus de FIV plus précis et plus efficace. La plateforme, nommée EMA, est utilisée dans les centres de FIV du monde entier et offre un ensemble d’outils de numérisation et d’automatisation pour aider les cliniques de fertilité à optimiser les processus de FIV et les résultats pour les personnes à la recherche d’une PMA. Les futurs parents dépensent ainsi moins d’argent et mettent moins de temps pour avoir un bébé.
AIVF a été fondée en 2018 par Daniella Gilboa et le professeur Daniel Seidman, deux experts en médecine reproductive. Daniella Gilboa est une entrepreneure en série qui a créé plusieurs entreprises dans le domaine de la santé numérique. Le professeur Daniel Seidman est un gynécologue-obstétricien spécialisé en endocrinologie de la reproduction et en infertilité. Il est le directeur du centre de FIV du centre médical Sheba à Tel Aviv, le plus grand centre de FIV d’Israël.
Les deux cofondateurs ont eu l’idée de créer AIVF après avoir constaté les limites et les défis de la FIV dans leur pratique clinique. Ils ont réalisé que la FIV reposait encore largement sur des méthodes manuelles et subjectives, notamment pour l’évaluation et la sélection des embryons. En effet, les embryologistes doivent observer les embryons au microscope et leur attribuer une note en fonction de critères visuels tels que la forme, la taille, le nombre et la symétrie des cellules. Cette méthode est imprécise, variable et sujette à des erreurs humaines.
Les cofondateurs ont alors décidé de développer une solution basée sur l’IA qui pourrait analyser les images des embryons avec plus de précision et d’objectivité que l’œil humain. Ils ont ainsi créé AIVF avec l’ambition de révolutionner la FIV grâce à l’IA.
La vision d’AIVF est de conduire la prochaine génération de FIV en utilisant l’IA pour améliorer les décisions cliniques et les résultats des patients. La start-up se donne pour mission d’aider les patients, les cliniques et les laboratoires à atteindre les meilleurs résultats possibles en développant des solutions avancées basées sur l’IA. Ses solutions pionnières visent à converger la numérisation et l’automatisation dans la clinique de FIV pour aider les patients à parcourir un chemin plus fluide, plus rapide et plus accessible vers la parentalité.
AIVF se positionne comme un leader mondial dans le domaine de la technologie reproductive assistée par l’IA. La start-up a déjà levé 25 millions de dollars lors d’un tour de financement de série A mené par Pitango HealthTech en juin 2022. Elle a également été sélectionnée parmi les 10 meilleures start-ups du programme d’accélération de Google for Startups en avril 2023. Elle compte actuellement plus de 50 employés et collabore avec plus de 100 cliniques de FIV dans le monde, notamment aux États-Unis, en Europe, en Asie et en Israël.
La technologie d’AIVF repose sur une plateforme logicielle appelée EMA, qui signifie Embryo Management Application. EMA est une plateforme d’aide à la décision basée sur l’IA qui est adaptée aux besoins spécifiques de la clinique de FIV. L’espace de travail numérique relie toute l’équipe de soins à une évaluation automatisée des embryons basée sur l’IA, à des communications simplifiées et à des outils d’analyse puissants.
EMA se compose de trois modules principaux :
AIVF offre plusieurs avantages aux cliniques de FIV et aux patients qui recourent à la PMA. Parmi ces avantages, on peut citer :