Les news de France & Israël
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Business IsraëlDepuis quelques années, le statut de micro-entrepreneur attire de plus en plus d’individus en France, désireux de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. Cette tendance s’explique par la simplicité des démarches administratives, l’absence de charges sociales et fiscales au démarrage, et la flexibilité qu’offre ce régime. […]
Business FinanceUn monde où les machines opèrent et les drones livrent des médicaments : la science-fiction devient réalité grâce à l’intelligence artificielle et à son impact fulgurant sur le domaine de la robotique. En effet, l’IA dote les robots d’une autonomie et d’une précision sans précédent, […]
Innovation TechnologieWaze est une application de navigation routière qui utilise les données fournies par les utilisateurs pour optimiser les trajets en fonction du trafic, des accidents, des travaux ou des contrôles de police. Créée en 2008 par une start-up israélienne, Waze a connu un succès fulgurant […]
Innovation TechnologieWaze est une application de navigation routière qui utilise les données fournies par les utilisateurs pour optimiser les trajets en fonction du trafic, des accidents, des travaux ou des contrôles de police. Créée en 2008 par une start-up israélienne, Waze a connu un succès fulgurant et a attiré l’attention des géants du web comme Facebook et Google, qui se sont disputés son rachat. Comment Waze a-t-elle réussi à se démarquer dans un secteur concurrentiel et à séduire la Californie, le berceau de la Silicon Valley ? Voici l’itinéraire d’une start-up innovante qui a transformé l’expérience des conducteurs du monde entier.
Waze est née de l’idée de deux entrepreneurs israéliens, Ehud Shabtai et Uri Levine, qui cherchaient à améliorer leur propre expérience de conduite. Passionné d’informatique, Ehud Shabtai avait développé un logiciel de navigation basé sur les cartes libres de droits de OpenStreetMap, qu’il avait installé sur son smartphone. Il s’est rendu compte que les cartes étaient souvent obsolètes ou imprécises, et qu’il n’avait pas accès aux informations en temps réel sur le trafic. Il a alors eu l’idée de créer une application qui permettrait aux utilisateurs de partager leurs données de localisation et de signaler les incidents sur la route, afin de créer une carte dynamique et collaborative. Il s’est associé à Uri Levine, un expert en marketing, pour lancer le projet en 2008, sous le nom de FreeMap Israel.
Voici comment utiliser cette application :
Pour développer leur application, les fondateurs de Waze ont adopté une approche communautaire et ludique, qui a permis de fidéliser les utilisateurs et de créer un réseau dense et actif. En effet, Waze fonctionne sur le principe du crowdsourcing, c’est-à-dire que les utilisateurs contribuent à la création et à la mise à jour des cartes, en envoyant leurs données de localisation et en signalant les événements sur la route. En échange, ils bénéficient d’un service gratuit et personnalisé, qui leur propose le meilleur itinéraire en fonction de leur destination et des conditions de circulation. Pour encourager la participation des utilisateurs, Waze a également introduit des éléments ludiques, comme un système de points, de badges et de classements, qui récompensent les contributions les plus utiles ou originales. Par exemple, les utilisateurs peuvent gagner des points en explorant de nouvelles routes, en corrigeant des erreurs sur les cartes ou en signalant des éléments insolites sur la route.
Après avoir conquis le marché israélien, Waze a décidé de se lancer à l’international en 2009, en changeant son nom pour un terme plus facile à prononcer dans différentes langues. Pour s’adapter aux spécificités de chaque pays, Waze a misé sur la collaboration avec des partenaires locaux, comme des médias, des associations ou des institutions publiques, qui ont contribué à promouvoir l’application et à enrichir les cartes avec des données pertinentes. Par exemple, en France, Waze a noué des partenariats avec Radio France, Le Parisien ou la Préfecture de Police de Paris. Waze a également su tirer parti des opportunités offertes par les événements mondiaux, comme la Coupe du Monde de football en 2010 ou les Jeux Olympiques de Londres en 2012, pour se faire connaître et attirer de nouveaux utilisateurs.
Le succès de Waze n’est pas passé inaperçu aux yeux des géants du web, qui ont vu dans cette start-up un potentiel concurrent ou un partenaire stratégique. En 2013, Facebook a entamé des négociations pour racheter Waze pour près d’un milliard de dollars, mais les discussions ont échoué en raison de divergences sur le lieu du siège social et sur la protection des données des utilisateurs. Finalement, c’est Google qui a remporté la mise, en juin 2013, en déboursant 1,15 milliard de dollars pour acquérir Waze. Ce rachat a été une reconnaissance pour la start-up israélienne, qui a pu bénéficier de la puissance et de la notoriété de Google, tout en conservant son autonomie et son identité. Cependant, il a également représenté un défi, car Waze a dû faire face à la concurrence d’autres applications de navigation, comme Apple Maps ou Here, et à la réglementation des autorités de la concurrence, qui ont imposé des restrictions sur le partage des données entre Google et Waze.
Depuis son rachat par Google, Waze a continué à innover et à se diversifier, en proposant de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux services à ses utilisateurs. Par exemple, Waze a lancé en 2015 un service de covoiturage nommé Waze Carpool, qui permet aux conducteurs et aux passagers de partager les frais d’un trajet commun, en fonction de leur destination et de leur horaire. Ce service vise à réduire le nombre de voitures sur les routes, à favoriser les rencontres entre les utilisateurs et à diminuer l’impact environnemental du transport. Waze a également développé des partenariats avec des acteurs du secteur automobile, comme Ford, Renault ou Toyota, pour intégrer son application dans les systèmes d’infodivertissement des véhicules. Enfin, Waze a renforcé son engagement social, en soutenant des causes humanitaires ou environnementales, comme la lutte contre le réchauffement climatique ou la protection des animaux.
Waze ne se contente pas d’être une simple application de navigation routière. Elle se veut être une plateforme intelligente et connectée, qui offre aux utilisateurs une expérience de conduite optimale et personnalisée. Pour cela, Waze utilise l’intelligence artificielle et le big data pour analyser les données fournies par les utilisateurs et leur proposer des solutions adaptées à leurs besoins et à leurs préférences. Par exemple, Waze peut suggérer aux utilisateurs des lieux à visiter, des restaurants à essayer ou des événements à ne pas manquer, en fonction de leur localisation et de leur historique. Waze peut également interagir avec d’autres applications ou services, comme Spotify, Amazon Alexa ou Uber, pour enrichir l’expérience des utilisateurs et leur faciliter la vie. Waze se positionne ainsi comme un assistant personnel et un compagnon de route pour les conducteurs du monde entier.
Fiverr est une plateforme en ligne qui met en relation des prestataires de services et des clients dans plus de 150 catégories, allant du graphisme à la rédaction, en passant par le marketing, la programmation ou la musique. Fondée en 2010 par Micha Kaufman et […]
BusinessFiverr est une plateforme en ligne qui met en relation des prestataires de services et des clients dans plus de 150 catégories, allant du graphisme à la rédaction, en passant par le marketing, la programmation ou la musique. Fondée en 2010 par Micha Kaufman et Shai Wininger, deux entrepreneurs israéliens, Fiverr a connu une croissance fulgurante et est devenue l’une des start-up les plus prometteuses d’Israël.
Fiverr fonctionne sur le principe du “gig”, c’est-à-dire une prestation de service à prix fixe, généralement à partir de 5 dollars (d’où le nom de Fiverr). Les prestataires, appelés “sellers”, proposent leurs services sur la plateforme et les clients, appelés “buyers”, peuvent les commander en quelques clics. Les paiements sont sécurisés et Fiverr prélève une commission de 20 % sur chaque transaction.
Fiverr offre une grande flexibilité aux sellers, qui peuvent choisir leurs horaires, leurs tarifs et leurs conditions de travail. Ils peuvent également proposer des options supplémentaires pour augmenter leurs revenus. Les buyers, quant à eux, bénéficient d’un large choix de services de qualité à des prix compétitifs. Ils peuvent également consulter les avis et les évaluations des autres clients pour se faire une idée du niveau de satisfaction des sellers.
Voici quelques conseils pour utiliser Fiverr :
Fiverr présente de nombreux avantages pour les sellers et les buyers. Pour les sellers, Fiverr est une opportunité de gagner de l’argent en exploitant leurs talents et leurs passions. Ils peuvent également développer leurs compétences, leur portfolio et leur réseau professionnel. Pour les buyers, Fiverr est une solution pratique et économique pour externaliser des tâches ponctuelles ou récurrentes. Ils peuvent ainsi se concentrer sur leur cœur de métier et optimiser leur productivité.
Fiverr est également un vecteur d’innovation et de créativité. La plateforme permet de découvrir des services originaux et insolites, comme la création d’un logo en Lego, la rédaction d’un poème personnalisé ou la réalisation d’une vidéo humoristique. Fiverr favorise ainsi l’émergence de nouvelles tendances et de nouveaux besoins.
Fiverr doit faire face à plusieurs défis pour maintenir sa position de leader sur le marché des services en ligne. Le premier défi est la concurrence, qui s’intensifie avec l’arrivée de nouveaux acteurs comme Upwork, Freelancer ou 99designs. Fiverr doit donc se différencier par la qualité de son service, la diversité de son offre et la fidélisation de sa communauté.
Le deuxième défi est la régulation, qui peut varier selon les pays et les secteurs d’activité. Fiverr doit respecter les lois locales en matière de fiscalité, de droit du travail ou de protection des données. Fiverr doit également veiller à prévenir les fraudes, les abus ou les violations des droits d’auteur.
Le troisième défi est la rentabilité, qui n’est pas encore assurée malgré le succès de la plateforme. Fiverr a réalisé un chiffre d’affaires de 189 millions de dollars en 2019, mais a affiché une perte nette de 33 millions de dollars. Fiverr doit donc trouver un équilibre entre sa croissance et sa profitabilité.
Fiverr a pour ambition de devenir le “Amazon des services”, c’est-à-dire la référence mondiale pour l’achat et la vente de services en ligne. Pour cela, Fiverr mise sur plusieurs leviers :
Fiverr est donc une start-up israélienne qui a su se faire une place de choix sur le marché des services en ligne. En proposant une solution simple, rapide et abordable pour acheter et vendre des services, Fiverr a séduit des millions d’utilisateurs à travers le monde. Fiverr a également contribué à l’essor de l’économie collaborative et à la transformation du monde du travail. Fiverr est ainsi un exemple de réussite et d’innovation à suivre.
Le samedi 7 octobre 2023, le mouvement islamiste palestinien Hamas a lancé une attaque surprise contre Israël, tirant des milliers de roquettes depuis la bande de Gaza et infiltrant des centaines de combattants en territoire israélien. L’attaque a fait des centaines de morts et de […]
Actualité IsraëlLe samedi 7 octobre 2023, le mouvement islamiste palestinien Hamas a lancé une attaque surprise contre Israël, tirant des milliers de roquettes depuis la bande de Gaza et infiltrant des centaines de combattants en territoire israélien. L’attaque a fait des centaines de morts et de blessés, et a entraîné la capture de plusieurs civils et militaires israéliens, dont au moins deux Français. Israël a riposté par des frappes aériennes et des opérations terrestres, visant les positions du Hamas et du Hezbollah au Liban, qui a également tiré des obus d’artillerie et des missiles guidés sur Israël. La situation a provoqué une crise humanitaire et diplomatique, avec des appels à un cessez-le-feu et à la libération des otages de la part de la communauté internationale.
Le Hamas est un mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2007, après avoir évincé le Fatah, le parti du président palestinien Mahmoud Abbas. Le Hamas ne reconnaît pas l’existence d’Israël et appelle à sa destruction. Il considère la résistance armée comme le seul moyen de libérer la Palestine et de défendre les droits des Palestiniens. Le Hamas est considéré comme une organisation terroriste par Israël, les États-Unis, l’Union européenne et d’autres pays.
Le Hamas a revendiqué l’attaque contre Israël comme une réponse aux violations israéliennes des droits des Palestiniens, notamment à Jérusalem-Est, où les tensions sont montées ces derniers mois autour du statut du mont du Temple, un lieu saint pour les musulmans et les juifs. Le Hamas a également affirmé vouloir venger les victimes des frappes israéliennes sur la bande de Gaza, qui ont fait plus de 250 morts depuis le début de l’année. En outre, le Hamas a cherché à profiter du contexte régional instable, marqué par la guerre en Syrie, la crise au Liban et l’affaiblissement de l’Autorité palestinienne.
Voici une vidéo relatant cette nouvelle :
Israël a qualifié l’attaque du Hamas de guerre totale et de menace existentielle. Le Premier ministre israélien Naftali Bennett a déclaré que son pays allait frapper fort le Hamas et le Hezbollah, et qu’il n’allait pas céder au chantage des otages. Il a également accusé l’Iran d’être derrière l’attaque, affirmant que Téhéran fournissait des armes et des fonds aux groupes islamistes. Israël a mobilisé ses forces de défense et activé son système antimissile Dôme de fer pour intercepter les roquettes du Hamas. Il a également lancé des frappes aériennes sur la bande de Gaza et le sud du Liban, ciblant les infrastructures militaires et civiles du Hamas et du Hezbollah. Selon l’armée israélienne, plus de 500 cibles ont été touchées depuis le début de l’offensive.
La situation humanitaire est dramatique dans la bande de Gaza, où les habitants sont pris au piège entre les frappes israéliennes et les tirs du Hamas. Selon le ministère palestinien de la Santé, plus de 256 personnes ont été tuées, dont 66 enfants, et plus de 1 900 blessées depuis le début de l’attaque. Les infrastructures sanitaires, électriques et hydrauliques sont gravement endommagées, entraînant des pénuries d’eau, de nourriture et de médicaments. Les Nations unies ont appelé à un accès humanitaire urgent pour fournir une assistance aux civils.
En Israël, le bilan est également lourd, avec plus de 300 morts et près de 2 000 blessés, dont 345 dans un état critique. Parmi les victimes, on compte au moins deux Français, tués par des roquettes du Hamas. Plusieurs autres ressortissants français sont portés disparus ou retenus en otage par le Hamas, selon le ministère français des Affaires étrangères. Les villes israéliennes proches de la frontière avec Gaza, comme Sderot ou Ashkelon, sont les plus touchées par les tirs du Hamas. Les habitants vivent dans la peur et doivent se réfugier dans des abris à chaque alerte.
La France a condamné fermement l’attaque du Hamas contre Israël, qu’elle a qualifiée d’inacceptable et d’intolérable. Le président français Emmanuel Macron a exprimé sa solidarité avec Israël et son soutien au droit à la légitime défense. Il a également dénoncé le chantage insupportable du Hamas sur les otages, et appelé à leur libération immédiate et sans condition. Il a en outre demandé l’arrêt des hostilités et la reprise du dialogue entre Israéliens et Palestiniens, dans le cadre d’une solution à deux États.
La position de la France a été soutenue par la majorité de la classe politique française, qui a manifesté son appui à Israël lors d’une marche de solidarité organisée à Paris par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). Seul Jean-Luc Mélenchon, le leader de la France insoumise, a critiqué à mots couverts la riposte israélienne, estimant que la violence ne produit et ne reproduit qu’elle-même. Il a également appelé à une solution politique au conflit israélo-palestinien.
Le voyage d’affaires est un secteur en pleine mutation, sous l’effet des technologies numériques qui bouleversent les pratiques, les attentes et les enjeux des acteurs impliqués. Dans ce contexte, comment se positionne William Edel, PDG de Wagram Voyages, une agence spécialisée dans la gestion des […]
BusinessLe voyage d’affaires est un secteur en pleine mutation, sous l’effet des technologies numériques qui bouleversent les pratiques, les attentes et les enjeux des acteurs impliqués. Dans ce contexte, comment se positionne William Edel, PDG de Wagram Voyages, une agence spécialisée dans la gestion des déplacements professionnels et l’organisation d’événements ? Quelle est sa vision du voyage d’affaires à l’ère du numérique ? Quels sont les défis et les opportunités qu’il identifie pour son activité ? Cet article propose de répondre à ces questions en s’appuyant sur l’expertise de William Edel.
Selon William Edel, les technologies numériques (TN) sont devenues un facteur clé de la performance des entreprises et des destinations touristiques, en permettant de réduire les distances, de faciliter la communication, de diversifier les usages et de co-construire les expériences. Il s’agit d’un phénomène historique, qui a connu plusieurs étapes depuis l’avènement d’Internet dans les années 1990, jusqu’à l’émergence de l’Internet 4.0, caractérisé par l’intelligence artificielle, le big data et l’internet des objets.
Voici une vidéo relatant les innovations dans le secteur du voyage d’affaires :
Le numérique a également eu un impact majeur sur le voyage d’affaires, en modifiant les comportements et les besoins des voyageurs, en redistribuant le pouvoir entre les parties prenantes et en remettant en question le modèle économique traditionnel. William Edel observe que la crise sanitaire a accéléré ces transformations, en entraînant une réduction des déplacements, une digitalisation des processus et des services, une concurrence accrue et une exigence croissante de responsabilité sociale et environnementale. Face à ces évolutions, il estime que 2022 sera une année de réajustement, tandis que 2023 sera celle de la révolution.
Pour s’adapter à ce nouveau contexte, William Edel a mis en place une stratégie basée sur l’innovation, la qualité et la RSE. Il a ainsi développé des solutions numériques adaptées aux besoins de ses clients, comme des plateformes de réservation en ligne, des applications mobiles ou des événements digitaux. Il a également renforcé son positionnement sur le segment du voyage d’affaires responsable, en proposant des prestations écoresponsables, en passant la certification ISO 20121 et en rejoignant le label positiv workplace. Enfin, il a misé sur la proximité et la personnalisation de son offre, en s’appuyant sur son expertise métier et son réseau Selectour Afat.
William Edel est conscient que le numérique représente aussi un défi pour le voyage d’affaires de demain, qui devra faire face à une concurrence accrue, à une réglementation plus stricte et à une évolution constante des technologies. Il considère que le rôle des agences de voyage d’affaires sera de plus en plus celui d’un conseil et d’un accompagnateur, capable d’apporter une valeur ajoutée à ses clients, en termes de sécurité, de qualité et de responsabilité. Il pense également que le numérique ne remplacera pas le contact humain, qui reste essentiel pour créer du lien, partager des émotions et générer de la confiance.
Le voyage d’affaires à l’ère du numérique est un secteur en pleine mutation, qui offre à la fois des opportunités et des défis pour les acteurs impliqués. William Edel, PDG de Wagram Voyages et Wagram et Vous, a su s’adapter à ces évolutions, en développant une stratégie basée sur le numérique, la qualité et la RSE. Il se positionne ainsi comme un acteur innovant et responsable, qui accompagne ses clients dans la réussite de leurs déplacements professionnels et de leurs événements.
Vous êtes à la recherche d’une agence de voyages d’affaires qui vous accompagne dans la gestion et l’optimisation de vos déplacements professionnels ? Vous souhaitez bénéficier d’un service personnalisé, d’une expertise reconnue et d’un réseau international ? Alors, découvrez Wagram Voyages, l’agence qui s’occupe de […]
BusinessVous êtes à la recherche d’une agence de voyages d’affaires qui vous accompagne dans la gestion et l’optimisation de vos déplacements professionnels ? Vous souhaitez bénéficier d’un service personnalisé, d’une expertise reconnue et d’un réseau international ? Alors, découvrez Wagram Voyages, l’agence qui s’occupe de tout pour vous faire voyager mieux.
Wagram Voyages est une agence de voyages d’affaires créée en 1979, qui compte aujourd’hui plus de 50 collaborateurs et qui réalise un chiffre d’affaires de plus de 40 millions d’euros. Spécialisée dans le secteur privé, public et ONG, elle propose des solutions sur-mesure pour répondre aux besoins spécifiques de chaque client.
Wagram Voyages vous offre un accompagnement complet pour vos voyages d’affaires, que ce soit pour la réservation de vos billets d’avion, de vos hôtels, de vos locations de voiture, ou pour la gestion de vos visas, de vos assurances, de vos notes de frais, etc. Vous pouvez réserver en ligne via une plateforme dédiée, par téléphone ou par email, et bénéficier d’un service d’assistance 24h/24 et 7j/7 en cas d’imprévu. Selon William Edel, l’agence de voyages cherche à proposer à ses clients des services sur-mesure.
En choisissant Wagram Voyages, vous profitez de nombreux avantages :
Voici une vidéo présentant Selectour :
Wagram Voyages est membre du réseau Selectour depuis 1983. Selectour est le premier réseau d’agences de voyages indépendantes en France, avec plus de 1200 points de vente. Ce réseau permet à Wagram Voyages de bénéficier d’une puissance d’achat, d’une centrale de paiement, d’un outil technologique performant et d’une offre diversifiée. Selectour est également partenaire du réseau Radius Travel, qui regroupe plus de 100 agences dans 80 pays, offrant ainsi une couverture mondiale à Wagram Voyages.
Wagram Voyages est l’agence de voyages d’affaires qu’il vous faut si vous cherchez un service personnalisé, une expertise reconnue et un réseau international. Depuis 40 ans, elle s’engage à vous faire voyager mieux, en respectant vos contraintes budgétaires, votre politique voyages et vos valeurs.
Nicolas Sarkozy et François Hollande sont deux anciens présidents de la République française qui se sont affrontés lors de l’élection présidentielle de 2012. Depuis, leur relation est marquée par une forte animosité et des attaques réciproques sur divers sujets politiques, économiques ou personnels. Quelles sont […]
Actualité FranceNicolas Sarkozy et François Hollande sont deux anciens présidents de la République française qui se sont affrontés lors de l’élection présidentielle de 2012. Depuis, leur relation est marquée par une forte animosité et des attaques réciproques sur divers sujets politiques, économiques ou personnels. Quelles sont les origines et les manifestations de cette tension entre les deux hommes ?
Le premier signe de la tension entre Nicolas Sarkozy et François Hollande remonte à la passation de pouvoir qui a eu lieu le 15 mai 2012 au palais de l’Élysée. Selon le protocole, le président sortant doit raccompagner son successeur à la sortie du palais après leur poignée de main symbolique. Or, François Hollande n’a pas respecté cette tradition et a laissé Nicolas Sarkozy partir seul, ce qui a été perçu comme un manque de courtoisie républicaine et de reconnaissance envers son prédécesseur. Nicolas Sarkozy a exprimé son agacement à plusieurs reprises sur ce sujet, tandis que François Hollande a dit plus tard regretter ce geste.
Voici une vidéo relatant les propos de Sarkozy :
Au-delà de cet épisode, Nicolas Sarkozy et François Hollande ont des visions politiques très différentes, voire opposées, sur de nombreux sujets. Par exemple, ils se sont opposés sur la question du nucléaire, l’un défendant le maintien de cette filière stratégique pour la France, l’autre prévoyant la fermeture progressive de 24 centrales en accord avec les écologistes. Ils ont également eu des désaccords sur la politique étrangère, notamment sur le dossier ukrainien, où Nicolas Sarkozy a plaidé pour la neutralité de l’Ukraine face à la Russie, tandis que François Hollande a soutenu l’intégration européenne du pays et condamné l’annexion de la Crimée par Moscou.
En plus de leurs divergences politiques, Nicolas Sarkozy et François Hollande se sont livrés à des attaques personnelles récurrentes, témoignant d’un profond mépris mutuel. Ainsi, Nicolas Sarkozy aurait déclaré à propos de François Hollande : « Ce n’est pas que je le hais, mais je le méprise ». Il se serait également moqué régulièrement de son physique, notamment de son embonpoint, en lui demandant : « T’as pas pris un kilo ? ». De son côté, François Hollande n’a pas hésité à critiquer le bilan et le comportement de Nicolas Sarkozy, en le qualifiant d’irresponsable, d’gité ou d’imprudent.
La tension entre Nicolas Sarkozy et François Hollande ne semble pas s’apaiser avec le temps. Les deux anciens présidents continuent de s’écharper sur les plateaux télévisés, dans les livres ou dans les coulisses politiques. Ils se disputent également l’héritage et l’influence au sein de leurs partis respectifs, Les Républicains et le Parti socialiste. Certains observateurs estiment même qu’ils pourraient se retrouver face à face lors de la prochaine élection présidentielle de 2027, si Emmanuel Macron ne se représente pas ou n’est pas réélu. Dans ce cas, la tension entre les deux rivaux pourrait atteindre des sommets inédits.
Le Haut Karabakh est une région montagneuse du Caucase du Sud, peuplée majoritairement d’Arméniens, mais reconnue internationalement comme faisant partie de l’Azerbaïdjan. Depuis des décennies, ce territoire est au cœur d’un conflit sanglant entre les deux pays voisins, qui se sont affrontés à plusieurs reprises […]
ActualitéLe Haut Karabakh est une région montagneuse du Caucase du Sud, peuplée majoritairement d’Arméniens, mais reconnue internationalement comme faisant partie de l’Azerbaïdjan. Depuis des décennies, ce territoire est au cœur d’un conflit sanglant entre les deux pays voisins, qui se sont affrontés à plusieurs reprises pour le contrôler. Le 19 septembre 2023, l’Azerbaïdjan a lancé une opération militaire d’envergure contre les forces arméniennes au Haut Karabakh, provoquant la mort de nombreux civils et la réaction de la communauté internationale. Quelles sont les origines de ce conflit ? Quels sont les enjeux actuels ? Quelles sont les perspectives de paix ?
Le Haut Karabakh, ou Artsakh en arménien, est une région historiquement peuplée d’Arméniens, qui ont été victimes d’un génocide perpétré par l’Empire ottoman entre 1915 et 1923. Après la Première Guerre mondiale, le Haut Karabakh fait partie de la République démocratique d’Azerbaïdjan, qui est ensuite intégrée à l’Union soviétique en 1922. Sous le régime communiste, le Haut Karabakh est rattaché à la République socialiste soviétique d’Azerbaïdjan, malgré les revendications des Arméniens qui demandent son rattachement à la République socialiste soviétique d’Arménie.
Voici une vidéo relatant cette nouvelle :
En 1988, les tensions s’exacerbent entre les deux communautés, et des affrontements éclatent entre les forces azerbaïdjanaises et les séparatistes arméniens, soutenus par l’Arménie. En 1991, après la chute de l’URSS, le Haut Karabakh proclame son indépendance, non reconnue par la communauté internationale. Une guerre éclate alors entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie, qui fait plus de 30 000 morts et des centaines de milliers de déplacés. En 1994, un cessez-le-feu est signé sous l’égide du Groupe de Minsk, coprésidé par la France, la Russie et les États-Unis. Le Haut Karabakh reste sous le contrôle des forces arméniennes, ainsi que sept districts adjacents appartenant à l’Azerbaïdjan.
Malgré le cessez-le-feu, la situation reste instable au Haut Karabakh, où des incidents armés se produisent régulièrement le long de la ligne de contact. Les négociations de paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie sont au point mort, chacun campant sur ses positions. L’Azerbaïdjan exige le retrait des forces arméniennes du Haut Karabakh et des territoires occupés, qu’il considère comme faisant partie intégrante de sa souveraineté territoriale. L’Arménie soutient le droit à l’autodétermination du peuple du Haut Karabakh, qui se considère comme une république indépendante. Le statut final du Haut Karabakh reste donc un sujet de discorde majeur entre les deux parties.
Le 19 septembre 2023, l’Azerbaïdjan a lancé une opération militaire d’envergure contre les forces arméniennes au Haut Karabakh, qu’il qualifie d'”antiterroriste”. Selon Bakou, cette opération fait suite à la mort de quatre policiers et de deux civils azerbaïdjanais dans l’explosion de mines sur une route vers Choucha, ville du Karabakh sous contrôle azerbaïdjanais. L’armée azerbaïdjanaise affirme avoir pris le contrôle de plus de 60 positions des séparatistes arméniens, et avoir ciblé des infrastructures civiles et militaires à Stepanakert, la capitale du Haut Karabakh, et dans d’autres villes de la région.
Les autorités séparatistes arméniennes dénoncent une agression injustifiée et disproportionnée, et affirment résister aux assauts de l’ennemi. Elles font état de la mort d’au moins huit civils et de 80 blessés, dont des femmes, des personnes âgées et des enfants.
L’opération militaire de l’Azerbaïdjan a suscité la réaction de la communauté internationale, qui appelle à la cessation immédiate des hostilités et au respect du cessez-le-feu. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit “profondément préoccupé” par la situation au Haut Karabakh, et a exhorté les parties à “s’engager sans délai dans un dialogue constructif”. Le président français, Emmanuel Macron, a condamné “l’attaque” de l’Azerbaïdjan, et a appelé à “la reprise des négociations” sous l’égide du Groupe de Minsk.
Le président russe, Vladimir Poutine, a exprimé sa “sérieuse inquiétude” face à l’escalade militaire, et a appelé à “la restauration du statu quo”. Le président américain, Joe Biden, a déclaré que “les États-Unis sont prêts à aider à trouver une solution pacifique et durable au conflit”. La Turquie, alliée de l’Azerbaïdjan, a en revanche apporté son soutien à l’opération militaire de Bakou, et a accusé l’Arménie d’être “l’agresseur” dans le conflit.
Le conflit au Haut Karabakh revêt des enjeux stratégiques importants pour les acteurs régionaux et internationaux. Le Caucase du Sud est une région située à la croisée de l’Europe, de l’Asie et du Moyen-Orient, où transitent des oléoducs et des gazoducs reliant la mer Caspienne aux marchés européens. L’Azerbaïdjan est un pays riche en hydrocarbures, qui cherche à renforcer sa souveraineté territoriale et à diversifier ses partenariats économiques. L’Arménie est un pays enclavé et pauvre, qui dépend largement de la Russie pour sa sécurité et son énergie.
La Turquie est un acteur régional influent, qui cherche à étendre son influence dans son voisinage proche et à soutenir ses frères turcophones d’Azerbaïdjan. La Russie est un acteur historique dans le Caucase du Sud, qui cherche à préserver son rôle de médiateur dans le conflit et à maintenir son influence sur les deux parties. L’Union européenne est un acteur économique majeur dans la région, qui cherche à promouvoir la stabilité, la démocratie et les droits de l’homme.
Les perspectives de paix au Haut Karabakh sont incertaines, tant les positions des parties sont éloignées et les tensions sont vives. Le processus de négociation mené par le Groupe de Minsk n’a pas abouti à une solution politique durable au conflit. Les principes de base proposés par les médiateurs prévoient le retrait progressif des forces arméniennes des territoires occupés autour du Haut Karabakh, le retour des personnes déplacées, le déploiement d’une force de maintien de la paix internationale, le statut provisoire du Haut Karabakh garantissant sa sécurité et son autonomie, ainsi qu’un référendum sur son statut final. Ces principes n’ont pas été acceptés par les parties, qui restent attachées à leurs revendications territoriales et identitaires.
Plongez dans la vie extraordinaire de Yassine Yakouti, un avocat pénaliste émérite dont le parcours hors du commun est source d’inspiration. Né en 1981 à Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine, Yassine est devenu l’une des figures les plus respectées du Barreau de Paris. Issu d’un milieu […]
DroitPlongez dans la vie extraordinaire de Yassine Yakouti, un avocat pénaliste émérite dont le parcours hors du commun est source d’inspiration. Né en 1981 à Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine, Yassine est devenu l’une des figures les plus respectées du Barreau de Paris. Issu d’un milieu ouvrier à Antony, ses parents d’origine marocaine lui ont inculqué des valeurs essentielles, dont la persévérance, l’humilité et un profond sens de la justice. Ces valeurs sont devenues le fondement de sa vie personnelle et professionnelle, sculptant ainsi le portrait fascinant de Yassine Yakouti.
Dès son plus jeune âge, Yassine Yakouti a manifesté une éloquence naturelle qui a laissé présager un avenir prometteur dans le domaine juridique. Sa famille et ses amis prédisaient déjà qu’il embrasserait la profession d’avocat. Cependant, son amour pour l’art de la parole et son sens aigu de la justice étaient présents bien avant qu’il n’envisage sérieusement une carrière dans le droit.
Les années 1990 ont été marquées par l’affaire Omar Raddad, un jardinier marocain impliqué dans une affaire judiciaire controversée. Cette affaire a profondément marqué Yassine Yakouti et a éveillé en lui un intérêt pour la justice et les erreurs judiciaires. L’avocat Jacques Vergès, qui défendait Omar Raddad, est devenu une source d’inspiration pour Yassine. Il se souvient : “J’ai regardé un reportage sur Jacques Vergès et je voulais être avocat comme lui.” Cette fascination précoce a solidifié sa détermination à devenir avocat et à défendre la justice.
L’excellence a toujours été la marque de fabrique de Yassine Yakouti. Après avoir brillamment obtenu son baccalauréat, il a poursuivi ses études à la faculté de droit de l’université Jean Monnet à Sceaux. Néanmoins, son intérêt pour la justice ne s’est jamais étiolé. Pour financer ses études, il a enchaîné les emplois, d’abord en tant que chauffeur-livreur, puis en tant que chauffeur poids lourd. Il plaisante souvent sur le fait d’être “l’un des rares avocats à posséder un permis poids lourd”, démontrant ainsi sa détermination à réussir.
Un tournant décisif s’est produit lorsqu’il a effectué son tout premier stage dans une bibliothèque au sein d’un grand cabinet d’affaires parisien, Baker McKenzie. Cette expérience a renforcé son intérêt pour le domaine juridique et l’a motivé à persévérer.
Cependant, Yassine Yakouti ne s’est pas contenté de se limiter au droit des affaires. Il aspirait à des défis plus vastes et à l’opportunité de voyager. À l’âge de 23 ans, il a poursuivi ses études à l’EDHEC de Nice, où il a étudié le droit des affaires internationales. Cette décision l’a conduit à un stage de six mois aux États-Unis, au sein du service juridique international d’une entreprise. À son retour en France, il a réussi l’examen d’entrée au Centre Régional de Formation Professionnelle des Avocats (CRFPA). Sa formation s’est achevée à l’école des avocats de Versailles, avant qu’il ne traverse de nouveau l’Atlantique pour effectuer des stages aux États-Unis.
En 2008, Yassine Yakouti a rejoint le prestigieux cabinet d’avocats Freshfields Bruckhaus Deringer à Paris, une décision qui coïncidait avec la crise des subprimes. Les conditions de travail étaient exigeantes, mais sa détermination était inébranlable. Cependant, c’est la dimension humaine qui l’a profondément déçu.
Une affaire en particulier a marqué un tournant décisif dans sa carrière. Il était en charge de la faillite d’une grande banque, et les comportements égoïstes et prédateurs qu’il a observés chez certains acteurs de l’industrie l’ont profondément choqué. Il explique : “J’ai été choqué par des comportements rapaces… Ce qui comptait pour les dirigeants, c’étaient eux, leurs bonus et pomper tout l’argent.” Cette expérience a ébranlé sa foi en la justice et l’a poussé à une introspection profonde. Il a pris le temps de rembourser son prêt étudiant, puis a pris une décision audacieuse : suivre sa véritable passion, le droit pénal.
En février 2009, Yassine Yakouti a entrepris une série de candidatures, envoyant plus de 400 CV dans l’espoir de réaliser son rêve. Il a rapidement compris qu’une étape cruciale vers cette réalisation était de rejoindre “la Conférence”, un concours exigeant réservé aux jeunes avocats de moins de 35 ans, inscrits au Barreau de Paris depuis moins de cinq ans. Ce concours nécessitait la capacité à soutenir une argumentation en public tout en conservant l’élégance de la langue française.
Déterminé à réussir, Yassine a mis toutes les chances de son côté et a remporté le concours du premier coup, en quelques mois seulement.
À la fin de cette année de la Conférence, Yassine Yakouti se sentait prêt à franchir une nouvelle étape dans sa carrière. Son désir était de créer son propre cabinet d’avocat, où il pourrait défendre les causes qui lui tenaient le plus à cœur.
En janvier 2011, il a concrétisé son rêve en fondant son propre cabinet d’avocat. Son domaine de prédilection était le droit pénal, en particulier les affaires liées aux maisons d’arrêt. Pour lui, le succès était défini par une simple question : “Est-ce que je parviens à faire sortir des détenus de prison ?” Si la réponse était affirmative, c’était une réussite.
Au fil des années, le nom de Yassine Yakouti a commencé à apparaître régulièrement dans les médias en raison de son implication dans des affaires de grande envergure et d’importance sociétale. Certaines de ses affaires les plus marquantes comprennent :
En 2020, Yassine Yakouti a franchi une nouvelle étape dans sa carrière en devenant membre du conseil de l’Ordre des avocats à la Cour de Paris. Cette nomination a été la reconnaissance de sa compétence, de son engagement et de sa contribution exceptionnelle au domaine du droit pénal.
Bien que Yassine Yakouti soit un avocat accompli, son sens de la justice est avant tout motivé par ses valeurs humaines profondes. Il nourrit une passion pour le football en raison de son aspect égalitaire. Depuis de nombreuses années, il s’investit activement dans le monde associatif, en particulier au sein de l’association “Gosse des rues d’ici et d’ailleurs,” qui œuvre pour la participation à des chantiers internationaux. De plus, il soutient plusieurs autres associations en relation avec les enfants.
L’altruisme est une caractéristique centrale de sa personnalité. Il déclare : “Les rencontres m’ont le plus aidé dans la vie,” et apprécie le contact humain au sein de sa profession : “Moi, ce que j’aime dans ce métier, c’est l’autre, discuter avec les gens.” Son dévouement à la justice et à l’altruisme a façonné sa philosophie de vie, illustrée par sa devise : “Défendre de la même manière n’importe qui,” quel que soit son statut ou sa notoriété.
En conclusion, Yassine Yakouti incarne l’incroyable potentiel de persévérance, de détermination et de sens de la justice. Son parcours inspirant, de l’enfant d’ouvriers à l’un des avocats pénalistes les plus respectés de Paris, est un témoignage de son engagement envers la défense des droits de l’homme et de sa contribution inestimable à la société. Yassine Yakouti continue de défendre avec passion les valeurs qui lui sont chères, tout en laissant un héritage durable dans le domaine du droit pénal et de la justice.
La migration internationale est un phénomène complexe et multidimensionnel qui concerne des millions de personnes dans le monde. Elle pose des défis importants aux États, aux organisations internationales et aux acteurs de la société civile, qui doivent trouver des moyens de gérer les flux migratoires […]
DroitLa migration internationale est un phénomène complexe et multidimensionnel qui concerne des millions de personnes dans le monde. Elle pose des défis importants aux États, aux organisations internationales et aux acteurs de la société civile, qui doivent trouver des moyens de gérer les flux migratoires de manière sûre, ordonnée et régulière, tout en respectant les droits de l’homme et la dignité des migrants.
Dans ce contexte, le droit international de la migration joue un rôle essentiel pour fournir un cadre normatif et juridique aux politiques migratoires. Il s’agit d’un domaine du droit en constante évolution, qui se nourrit de sources diverses et parfois contradictoires, telles que les traités multilatéraux et bilatéraux, les instruments non contraignants, le droit coutumier, la jurisprudence et la doctrine.
Yassine Yakouti est un expert reconnu du droit international de la migration, qui a publié plusieurs ouvrages et articles sur le sujet. Il est également professeur à l’Université de Paris Nanterre et directeur du Centre de recherche sur les droits de l’homme et le droit humanitaire (C.R.D.H.). Yassine Yakouti présente sa vision des principaux défis actuels du droit international de la migration.
Le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières est le premier accord négocié au niveau intergouvernemental couvrant tous les aspects de la migration internationale. Il a été adopté par l’Assemblée générale des Nations Unies le 19 décembre 2018, après deux ans de consultations et de négociations.
Voici une vidéo expliquant le droit des migrants :
Selon Yassine Yakouti, le Pacte mondial représente une avancée significative pour reconnaître la migration comme un phénomène positif et bénéfique pour le développement humain, ainsi que pour affirmer les principes et les objectifs communs qui doivent guider l’action des États en matière de migration. Le Pacte mondial contient 23 objectifs et 187 engagements concrets pour améliorer la coopération internationale, renforcer la protection des droits des migrants, prévenir les risques liés à la migration irrégulière, faciliter l’intégration des migrants dans les sociétés d’accueil…
Toutefois, Yassine Yakouti souligne également les limites du Pacte mondial, qui est un instrument non contraignant (droit souple) qui ne crée pas d’obligations juridiques pour les États. Il rappelle que le Pacte mondial est ancré dans le droit international existant, avec de nombreux objectifs qui font partie du droit international coutumier ou qui découlent des traités relatifs aux droits de l’homme. Il regrette que certains États aient refusé d’adhérer au Pacte mondial ou aient émis des réserves ou des déclarations interprétatives qui en affaiblissent la portée. Il appelle donc à une mise en œuvre effective du Pacte mondial, à travers un suivi régulier et une évaluation périodique des progrès réalisés.
Le respect des droits de l’homme des migrants est au cœur du droit international de la migration. Il s’agit d’un impératif éthique et juridique qui découle de la dignité inhérente à chaque être humain, indépendamment de son statut migratoire. Yassine Yakouti rappelle que les migrants sont titulaires de tous les droits de l’homme universels, indivisibles et interdépendants, qui sont consacrés par les instruments internationaux et régionaux relatifs aux droits de l’homme, tels que la Déclaration universelle des droits de l’homme, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille…
Ces droits comprennent notamment le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne, le droit de ne pas être soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, le droit de ne pas être soumis à l’esclavage ni à la servitude, le droit de ne pas être soumis à une détention arbitraire, le droit à un procès équitable et à un recours effectif, le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, le droit à la liberté d’opinion et d’expression, le droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques, le droit à l’éducation, au travail, à la santé, à la sécurité sociale, à la culture…
Yassine Yakouti insiste sur le fait que ces droits s’appliquent à tous les migrants, qu’ils soient réguliers ou irréguliers, qu’ils soient demandeurs d’asile ou réfugiés, qu’ils soient victimes de traite ou de trafic illicite, qu’ils soient en transit ou en destination. Il dénonce les violations des droits de l’homme des migrants qui sont commises par certains États ou par des acteurs non étatiques, notamment dans le contexte des contrôles frontaliers, des expulsions collectives, des détentions prolongées ou illégales, des violences physiques ou sexuelles, des discriminations ou des stigmatisations. Il appelle les États à respecter leurs obligations internationales en matière de droits de l’homme et à garantir aux migrants l’accès effectif aux mécanismes de protection et de réparation.
La lutte contre la discrimination et l’exclusion des migrants est un enjeu majeur pour assurer leur intégration dans les sociétés d’accueil et pour prévenir les conflits et les tensions sociales. Yassine Yakouti souligne que les migrants sont souvent confrontés à des formes multiples et croisées de discrimination fondées sur leur origine nationale ou ethnique, leur couleur de peau, leur religion, leur langue, leur genre, leur orientation sexuelle, leur âge, leur handicap ou leur statut migratoire. Ces discriminations se manifestent dans différents domaines de la vie sociale, tels que l’emploi, le logement, l’éducation, la santé, la justice ou la participation politique. Elles entravent l’exercice effectif des droits des migrants et compromettent leur accès aux opportunités et aux ressources.
Yassine Yakouti rappelle que le droit international interdit toute discrimination fondée sur un motif prohibé et impose aux États l’obligation de respecter le principe d’égalité et de non-discrimination dans leurs lois, leurs politiques et leurs pratiques. Il cite notamment la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale (CIEDR), qui impose aux États parties de condamner toute forme de discrimination raciale et d’adopter des mesures législatives ou autres pour interdire et éliminer toute distinction.
L’impact de la migration internationale ne se limite pas à la sphère économique; elle engendre également des dynamiques culturelles et sociales enrichissantes. Yassine Yakouti, en tant que spécialiste du droit international de la migration, met en exergue la contribution inestimable des migrants au tissu social et culturel des pays d’accueil. Le partage de connaissances, d’expériences et de compétences diversifiées est un moteur de l’innovation et de la créativité au sein des sociétés modernes.
Les initiatives d’inclusion sociale, telles que les programmes d’intégration linguistique et professionnelle, sont essentielles pour permettre aux migrants de jouer un rôle actif dans leur nouvelle communauté. En favorisant l’égalité des chances, les États et les organisations non gouvernementales peuvent transformer les défis de la migration en opportunités de croissance commune.
Le défi de la gouvernance migratoire réside dans la capacité des nations à orchestrer des politiques qui reflètent l’équilibre entre la souveraineté nationale et les obligations internationales. Le travail de Yassine Yakouti illustre la nécessité d’une approche holistique qui reconnaît les droits fondamentaux des migrants tout en assurant la sécurité et la prospérité des États. Cela implique une coopération renforcée entre les pays d’origine, de transit et de destination pour créer des canaux migratoires légaux et sécurisés.
Les mécanismes de partenariat, comme ceux promus par le Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, sont cruciaux pour relever les défis posés par les migrations irrégulières et la traite des êtres humains. Ces partenariats doivent s’inscrire dans le cadre du respect des droits de l’homme et viser à maximiser les bénéfices de la migration pour toutes les parties prenantes.
La migration internationale est intrinsèquement liée à l’économie mondiale. Les migrants contribuent de manière significative aux économies des pays d’accueil par leur travail, leur esprit d’entreprise et leur consommation. Yassine Yakouti reconnaît le rôle crucial des migrants dans le comblement des pénuries de main-d’œuvre, l’innovation entrepreneuriale et le maintien de la viabilité des systèmes de sécurité sociale face au vieillissement démographique.
Il est impératif que les politiques migratoires soutiennent l’intégration économique des migrants en reconnaissant leurs qualifications, en facilitant leur accès au marché du travail et en promouvant l’entrepreneuriat. Ces mesures non seulement améliorent les perspectives économiques des migrants, mais stimulent également la croissance économique et la diversification dans les pays d’accueil.
Les technologies modernes offrent des moyens innovants pour gérer la migration de façon plus efficace et humaine. Les systèmes d’information et les bases de données biométriques, soulignés par Yassine Yakouti, permettent un suivi plus sûr et plus rapide des flux migratoires. Toutefois, il est essentiel que l’utilisation de ces technologies soit conforme aux normes de protection des données et de la vie privée.
L’intelligence artificielle et le big data peuvent aider à prédire les mouvements migratoires et à prévenir les crises humanitaires. Ces outils doivent être utilisés pour améliorer les processus décisionnels et pour fournir une assistance ciblée aux migrants, en particulier dans les situations d’urgence.
En somme, le droit international de la migration, tel que développé par des experts tels que Yassine Yakouti, est un domaine juridique dynamique qui nécessite une vision globale et adaptative. Les défis contemporains de la migration exigent des réponses coordonnées qui tiennent compte de la complexPour rédiger un contenu optimisé pour le SEO sur le thème de la migration internationale, je vais m’appuyer sur les informations précédentes et élargir le sujet pour enrichir l’article avec de nouvelles perspectives. Le contenu qui suit est fictif et vise à illustrer comment procéder.
La musique classique est souvent perçue comme un art figé, qui se contente de reproduire les œuvres du passé sans innover ni s’adapter aux évolutions de la société. Pourtant, certains musiciens et compositeurs cherchent à intégrer la technologie moderne dans leur pratique, afin de renouveler […]
TechnologieLa musique classique est souvent perçue comme un art figé, qui se contente de reproduire les œuvres du passé sans innover ni s’adapter aux évolutions de la société. Pourtant, certains musiciens et compositeurs cherchent à intégrer la technologie moderne dans leur pratique, afin de renouveler leur expression, de toucher de nouveaux publics et de faire face aux défis du monde actuel. C’est le cas du P. Claude Jean-Marie Fould, un religieux et un musicologue qui s’intéresse à l’improvisation musicale et à son rôle dans la création artistique.
P. Claude Jean-Marie Fould est convaincu que la technologie moderne peut être un atout pour la musique classique, à condition qu’elle soit utilisée avec discernement et créativité. Selon lui, la technologie moderne peut servir à :
Voici une vidéo relatant ces faits :
P. Claude Jean-Marie Fould propose plusieurs pistes pour intégrer la technologie moderne dans la musique classique, en s’inspirant des exemples de musiciens et de compositeurs qui ont su innover dans ce domaine. Il suggère notamment de :
P. Claude Jean-Marie Fould affirme que l’intégration de la technologie moderne dans la musique classique peut apporter de nombreux bénéfices aux musiciens classiques eux-mêmes, mais aussi à leur public et à leur art. Selon lui, l’intégration de la technologie moderne peut permettre de :