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Le nom de Gilles Schnepp est intimement lié à l’histoire de Legrand, fleuron de l’industrie électrique française. Propulsé à la tête de l’entreprise en 1989, il a transformé ce fleuron familial en un véritable empire mondial, triplant son chiffre d’affaires et en faisant un leader […]
InnovationEn cette journée internationale des femmes, célébrons l’héritage d’Ada de Lovelace, une pionnière visionnaire qui a posé les bases de l’informatique moderne. Née en 1815, fille du célèbre poète Lord Byron, Ada Lovelace a collaboré avec Charles Babbage, inventeur de la machine analytique, une machine […]
TechnologieMonaco, principauté de renom, est souvent perçue comme le terrain de jeu des riches et des célèbres, un endroit où luxe et affaires se rencontrent. Mais au-delà de son glamour, Monaco est également un terreau fertile pour les entrepreneurs ambitieux qui cherchent à faire une […]
BusinessLe nom de Gilles Schnepp est intimement lié à l’histoire de Legrand, fleuron de l’industrie électrique française. Propulsé à la tête de l’entreprise en 1989, il a transformé ce fleuron familial en un véritable empire mondial, triplant son chiffre d’affaires et en faisant un leader […]
InnovationLe nom de Gilles Schnepp est intimement lié à l’histoire de Legrand, fleuron de l’industrie électrique française. Propulsé à la tête de l’entreprise en 1989, il a transformé ce fleuron familial en un véritable empire mondial, triplant son chiffre d’affaires et en faisant un leader incontesté dans son domaine. Mais Gilles Schnepp est bien plus qu’un simple chef d’entreprise. C’est un visionnaire, un bâtisseur d’avenir et un homme de valeurs qui a profondément marqué son époque.
Né en 1958 à Lyon, Gilles Schnepp trace dès son jeune âge un parcours d’excellence. Diplômé de HEC en 1981, il débute sa carrière chez Merrill Lynch, où il gravit rapidement les échelons jusqu’au poste de vice-président. En 1989, il opère un virage audacieux en rejoignant Legrand, une entreprise familiale spécialisée dans les produits électriques. Propulsé par son dynamisme et sa vision, il gravit les marches de la successsion, devenant Directeur Général Délégué en 2001, puis PDG en 2006.
Voici une vidéo en anglais présentant cet homme d’affaires :
Sous la houlette de Gilles Schnepp, Legrand se métamorphose en un véritable empire électrique. En l’espace de 12 années à la tête du groupe, il triple le chiffre d’affaires, le hissant au rang de leader mondial des produits électriques et numériques pour le bâtiment. Cette ascension fulgurante est le fruit d’une stratégie visionnaire axée sur l’innovation, l’expansion internationale et l’acquisition d’entreprises stratégiques.
Gilles Schnepp ne se contente pas du marché français. Il orchestre une expansion internationale audacieuse, implantant Legrand dans plus de 90 pays. Cette stratégie d’envergure permet au groupe de s’adapter aux besoins spécifiques de chaque marché et de saisir les opportunités de croissance à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, Legrand est un acteur incontournable sur la scène internationale, employant plus de 90 000 personnes à travers le monde.
Gilles Schnepp ne se résume pas à un simple chef d’entreprise. C’est un bâtisseur d’avenir qui place l’innovation au cœur de sa stratégie. Sous son leadership, Legrand investit massivement dans la recherche et le développement, créant des produits et des solutions toujours plus performants et intelligents. Soucieux de l’environnement et des générations futures, il intègre le développement durable dans la stratégie du groupe, faisant de Legrand un acteur exemplaire en matière de responsabilité sociale et environnementale.
Gilles Schnepp est unanimement reconnu pour ses qualités de leader. Doté d’une vision stratégique claire et ambitieuse, il sait insuffler à ses équipes une énergie et une motivation contagieuses. Excellent communicateur et négociateur, il inspire confiance et respect à ses collaborateurs et partenaires. Homme de valeurs, il place l’humain au centre de ses préoccupations et s’engage activement dans la promotion de la diversité et de l’inclusion au sein de Legrand.
Gilles Schnepp ne se limite pas à son rôle de chef d’entreprise. Il s’investit activement dans la vie sociale et économique de son pays. Administrateur indépendant de plusieurs sociétés, il siège également au conseil d’administration de l’Institut Montaigne, un think tank influent en France. Chevalier de la Légion d’Honneur et Officier de l’Ordre National du Mérite, il est un modèle d’engagement et de réussite pour la nouvelle génération de leaders.
En 2020, après 31 années au sein de Legrand, Gilles Schnepp passe le flambeau, laissant derrière lui un groupe solide et prospère. Son leadership visionnaire et sa passion pour l’innovation ont transformé Legrand en un leader mondial de l’industrie électrique. Son héritage est celui d’un bâtisseur d’empire, d’un homme de valeurs et d’un fervent défenseur du développement durable. Son parcours inspirant et son engagement sans faille font de lui un modèle pour les entrepreneurs et les leaders de demain.
En cette journée internationale des femmes, célébrons l’héritage d’Ada de Lovelace, une pionnière visionnaire qui a posé les bases de l’informatique moderne. Née en 1815, fille du célèbre poète Lord Byron, Ada Lovelace a collaboré avec Charles Babbage, inventeur de la machine analytique, une machine […]
TechnologieEn cette journée internationale des femmes, célébrons l’héritage d’Ada de Lovelace, une pionnière visionnaire qui a posé les bases de l’informatique moderne. Née en 1815, fille du célèbre poète Lord Byron, Ada Lovelace a collaboré avec Charles Babbage, inventeur de la machine analytique, une machine considérée comme l’ancêtre de l’ordinateur.
Dès son plus jeune âge, Ada Lovelace a montré un talent particulier pour les mathématiques. Elle a reçu une éducation rigoureuse et a étudié avec des tuteurs renommés, dont le célèbre mathématicien Augustus De Morgan. Sa passion pour les mathématiques et sa soif de savoir l’ont amenée à explorer des domaines inexplorés à l’époque.
Enfant, elle était fascinée par les chiffres et les modèles. Elle aimait jouer à des jeux mathématiques et résoudre des problèmes complexes. Son intelligence et sa persévérance lui ont permis de exceller dans ses études et de devenir une mathématicienne accomplie.
Voici une vidéo présentant cette femme :
En 1833, Ada Lovelace rencontre Charles Babbage, un inventeur visionnaire qui travaille sur la machine analytique. Cette machine est capable de réaliser des calculs complexes et est considérée comme l’ancêtre de l’ordinateur moderne. Ada Lovelace est fascinée par le travail de Babbage et devient sa collaboratrice.
Leur collaboration est fructueuse. Ada Lovelace apporte ses connaissances mathématiques et sa vision novatrice au projet de Babbage. Elle est capable de comprendre le fonctionnement de la machine analytique et de voir son potentiel révolutionnaire.
En 1843, Ada Lovelace traduit un article de Luigi Menabrea sur la machine analytique. Mais elle ne s’est pas contentée de traduire l’article, elle y a ajouté ses propres commentaires et réflexions. C’est dans ces commentaires qu’elle a écrit le premier algorithme destiné à être exécuté par une machine.
Son algorithme permettait à la machine analytique de calculer les nombres de Bernoulli. Il s’agissait d’une réalisation majeure qui a marqué la naissance de la programmation informatique.
Le travail d’Ada Lovelace ne se limite pas à la création du premier algorithme. Elle a également eu une vision avant-gardiste du potentiel de la machine analytique. Elle a imaginé que cette machine pourrait être utilisée pour composer de la musique, créer des images et même traduire des langues.
Elle a compris que l’informatique avait le potentiel de révolutionner de nombreux domaines de la vie humaine. Son imagination et sa vision ont inspiré les générations futures d’informaticiens et de scientifiques.
Ada Lovelace est décédée en 1852 à l’âge de 36 ans. Son travail n’a pas été reconnu à sa juste valeur à l’époque, mais il a été redéfini au XXe siècle avec l’avènement de l’informatique. Aujourd’hui, elle est considérée comme la première informaticienne de l’histoire et une pionnière de la programmation.
Son héritage est immense. Elle a ouvert la voie aux femmes dans le domaine des sciences et technologies et a contribué à l’essor de l’informatique moderne.
En cette journée internationale des femmes, célébrons le courage, la persévérance et la vision d’Ada Lovelace. Son parcours montre que les femmes peuvent être des pionnières dans des domaines traditionnellement masculins et qu’elles peuvent avoir un impact majeur sur le progrès scientifique.
Son histoire nous inspire à continuer à briser les barrières et à construire un avenir plus égalitaire pour les femmes et les filles.
Monaco, principauté de renom, est souvent perçue comme le terrain de jeu des riches et des célèbres, un endroit où luxe et affaires se rencontrent. Mais au-delà de son glamour, Monaco est également un terreau fertile pour les entrepreneurs ambitieux qui cherchent à faire une […]
BusinessMonaco, principauté de renom, est souvent perçue comme le terrain de jeu des riches et des célèbres, un endroit où luxe et affaires se rencontrent. Mais au-delà de son glamour, Monaco est également un terreau fertile pour les entrepreneurs ambitieux qui cherchent à faire une différence dans le monde des affaires. Pierre Medecin, bien qu’il ne soit pas un expert reconnu ni un responsable au sein de la Principauté, offre une perspective unique sur les défis et les opportunités que présente l’entrepreneuriat à Monaco. Ses conseils, fondés sur une observation attentive du marché local, sont une mine d’or pour ceux qui aspirent à naviguer dans cet environnement complexe.
Le cadre économique de Monaco est unique, caractérisé par sa petite taille et sa population fortunée. Pierre Medecin souligne l’importance de comprendre ce paysage avant de plonger dans l’entrepreneuriat. Avec une économie axée sur le tourisme, les services financiers, et le luxe, les opportunités abondent, mais elles exigent une approche ciblée et une compréhension approfondie des besoins locaux.
Les entrepreneurs doivent se familiariser avec les spécificités fiscales et réglementaires de Monaco, qui peuvent à la fois présenter des avantages et des défis. La connaissance de ces aspects permet d’élaborer des stratégies d’affaires efficaces et de naviguer avec succès dans le cadre légal monégasque.
Voici des conseils pour lancer son entreprise à Monaco :
À Monaco, l’identification des niches porteuses est cruciale pour le succès entrepreneurial. Pierre Medecin conseille de rechercher des secteurs moins saturés, mais à fort potentiel de croissance. Les services de luxe, les technologies propres, et le yachting sont des exemples de marchés où les innovations et les services de haute qualité peuvent trouver un écho favorable.
La clé est de proposer des produits ou des services qui répondent à la demande unique de la clientèle monégasque. Cela implique souvent d’aller au-delà des offres traditionnelles pour créer quelque chose de véritablement distinctif et adapté au marché local.
L’importance du réseautage à Monaco ne saurait être sous-estimée. Pierre Medecin met en avant le fait que les relations personnelles jouent un rôle crucial dans le monde des affaires monégasque. Participer à des événements locaux, rejoindre des clubs d’affaires et s’engager dans des activités communautaires sont d’excellentes façons de bâtir un réseau solide.
Un bon réseau peut ouvrir des portes, faciliter les introductions importantes et aider à naviguer dans les complexités du paysage entrepreneurial de Monaco. C’est souvent grâce à ces connections que les entrepreneurs peuvent trouver des mentors, des partenaires et des clients clés.
Obtenir un financement est une étape décisive pour tout entrepreneur à Monaco. Pierre Medecin recommande d’explorer toutes les options disponibles, des prêts bancaires aux investisseurs privés, en passant par les subventions gouvernementales. Monaco offre diverses ressources pour soutenir les startups et les entreprises en croissance, mais il est essentiel de présenter un plan d’affaires solide et convaincant.
Les entrepreneurs doivent également être conscients des initiatives de soutien comme MonacoTech, l’incubateur du gouvernement, qui fournit un cadre, des conseils et un soutien aux startups innovantes. Tirer parti de ces ressources peut être un catalyseur pour la croissance et le succès.
Dans un marché aussi compétitif que Monaco, le marketing et la visibilité sont essentiels. Pierre Medecin insiste sur l’importance d’une stratégie de marketing bien conçue qui met en valeur l’unicité de l’offre. Utiliser les médias sociaux, organiser des événements exclusifs et développer des partenariats stratégiques sont des moyens efficaces d’attirer l’attention sur votre entreprise.
Il est également crucial de comprendre le public cible à Monaco et de personnaliser les messages pour répondre à ses attentes. Une approche marketing adaptée peut faire la différence entre passer inaperçu et devenir une marque de référence.
Pierre Medecin encourage les entrepreneurs à intégrer la durabilité et l’innovation dans leurs modèles d’affaires. Monaco, avec son engagement envers la protection de l’environnement et le développement durable, est particulièrement réceptif aux entreprises qui adoptent ces valeurs. Proposer des solutions innovantes qui contribuent à un avenir plus durable peut non seulement répondre à une demande croissante, mais aussi positionner votre entreprise comme un leader éthique et responsable.
L’innovation ne concerne pas seulement les produits ou les services, mais aussi la manière dont les entreprises opèrent et interagissent avec leurs clients et la communauté. Adopter une approche innovante et durable peut ouvrir de nouvelles opportunités et renforcer la réputation de l’entreprise.
L’entrepreneuriat à Monaco offre des opportunités sans précédent pour ceux qui sont prêts à relever le défi. Les conseils de Pierre Medecin fournissent un cadre précieux pour comprendre et naviguer dans le paysage entrepreneurial unique de la Principauté. En mettant l’accent sur la compréhension du marché, la recherche de niches, le réseautage, le financement, le marketing et l’innovation durable, les entrepreneurs peuvent non seulement réussir à Monaco, mais aussi y laisser une empreinte durable. Avec la bonne approche et une vision claire, le monde de l’entrepreneuriat à Monaco est plein de possibilités à explorer.
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2021, Jean-Marie Tritant est le nouveau président du directoire d’Unibail-Rodamco-Westfield (URW), le premier groupe immobilier commercial au monde. Il succède à Christophe Cuvillier, qui a dirigé le groupe pendant sept ans. Qui est ce nouveau dirigeant qui a gravi les échelons […]
BusinessDepuis le 1ᵉʳ janvier 2021, Jean-Marie Tritant est le nouveau président du directoire d’Unibail-Rodamco-Westfield (URW), le premier groupe immobilier commercial au monde. Il succède à Christophe Cuvillier, qui a dirigé le groupe pendant sept ans. Qui est ce nouveau dirigeant qui a gravi les échelons au sein d’URW ? Quels sont ses défis et ses ambitions pour le groupe ? Voici un portrait de Jean-Marie Tritant, un PDG atypique qui ne sort pas d’une grande école parisienne.
Jean-Marie Tritant est diplômé de Burgundy School of Business et de l’université Paris Sorbonne en commerce immobilier. Il rejoint URW en 1997, alors que le groupe s’appelle encore Unibail. Il débute comme chargé de mission dans le pôle bureaux, avant de prendre la direction du développement des centres commerciaux en France en 2003. Il supervise notamment la rénovation du Forum des Halles à Paris et le lancement du projet du centre commercial Polygone Riviera à Cagnes-sur-Mer.
Les propos de Jean-Marie Tritant sur cette nouvelle aventure :
En 2009, il devient directeur général des centres commerciaux en France, puis en Europe centrale et du Nord en 2011. Il est nommé directeur général des opérations en 2013, et prend la responsabilité de l’ensemble des activités du groupe en Europe. Il pilote ainsi la stratégie d’acquisition, de développement et de gestion des actifs immobiliers d’URW, qui compte 90 centres commerciaux dans 12 pays, dont 55 “flagships” parmi les plus prestigieux au monde.
En 2018, il est nommé président d’URW aux Etats-Unis, suite à l’acquisition de Westfield Corporation, le leader des centres commerciaux de destination aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Il gère alors un portefeuille de 26 centres commerciaux aux Etats-Unis, dont des icônes comme Westfield Century City à Los Angeles ou Westfield World Trade Center à New York.
Jean-Marie Tritant est décrit comme un leader pragmatique et visionnaire, qui connaît parfaitement le secteur de l’immobilier commercial et les attentes des clients. Il a su faire preuve d’adaptabilité et de créativité face aux évolutions du marché et aux innovations technologiques. Il a notamment mis en place des partenariats avec des acteurs du digital comme Amazon ou Alibaba, pour créer des expériences phygitales inédites dans les centres commerciaux d’URW.
Il est également reconnu pour ses qualités humaines et managériales. Il a su fédérer les équipes d’URW autour d’une vision commune et d’une culture d’excellence. Il a également favorisé la diversité et l’inclusion au sein du groupe, en soutenant notamment les initiatives en faveur de l’égalité femmes-hommes, de la mixité sociale et de la responsabilité environnementale.
Jean-Marie Tritant prend les rênes d’URW dans un contexte difficile, marqué par la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19. Le groupe a vu ses revenus locatifs baisser de 28% en 2020, en raison des fermetures temporaires et des mesures de soutien accordées aux locataires. Le cours de l’action a chuté de plus de 60% sur un an, et la dette nette du groupe s’élevait à 26,4 milliards d’euros fin septembre 2020.
Face à cette situation, Jean-Marie Tritant doit mettre en œuvre le plan “Reset”, adopté par les actionnaires en novembre 2020. Ce plan vise à renforcer la structure financière du groupe, en réduisant son endettement de 9 milliards d’euros d’ici à fin 2022. Pour cela, URW prévoit de céder pour 4 milliards d’euros d’actifs non stratégiques, principalement aux Etats-Unis, et de réduire ses investissements de 800 millions d’euros. Le groupe a également levé 3,5 milliards d’euros via une augmentation de capital, à laquelle Jean-Marie Tritant a participé à titre personnel.
Par ailleurs, Jean-Marie Tritant doit poursuivre la stratégie de différenciation du groupe, en misant sur la qualité et l’attractivité de ses centres commerciaux de destination. Il doit également accélérer la transformation digitale du groupe, en renforçant les synergies entre le physique et le digital, et en développant les services et les solutions omnicanales. Enfin, il doit consolider le leadership d’URW en matière de développement durable, en s’engageant à réduire son empreinte carbone et à favoriser la transition écologique.
Jean-Marie Tritant a donc un défi de taille à relever, mais il peut compter sur son expérience, sa vision et son énergie pour mener à bien sa mission. Il peut également s’appuyer sur le soutien du conseil de surveillance du groupe, présidé par Léon Bressler, qui a salué sa nomination : “Jean-Marie Tritant est un dirigeant exceptionnel qui dispose d’une connaissance approfondie du groupe et de ses marchés. Il a joué un rôle clé dans le développement d’URW en Europe et aux Etats-Unis. Je suis convaincu qu’il saura conduire avec succès le redressement du groupe et lui redonner tout son potentiel.”
Vous connaissez Matthieu Witvoet ? C’est un écoaventurier qui relève des défis sportifs incroyables pour sensibiliser à l’écologie. Il a notamment nagé de Marseille à Barcelone, traversé le lac Titicaca et descendu la Seine en relais. Le tout en ramassant des mégots de cigarette, le […]
ActualitéVous connaissez Matthieu Witvoet ? C’est un écoaventurier qui relève des défis sportifs incroyables pour sensibiliser à l’écologie. Il a notamment nagé de Marseille à Barcelone, traversé le lac Titicaca et descendu la Seine en relais. Le tout en ramassant des mégots de cigarette, le déchet le plus polluant des océans. On vous raconte ici son parcours, ses motivations et ses projets pour 2024.
Matthieu Witvoet a 29 ans et il est écoaventurier. Qu’est-ce que ça veut dire ? C’est qu’il utilise le sport comme un moyen de parler de la cause écologique. Il réalise des exploits physiques qui attirent l’attention des médias et du public, et il en profite pour délivrer des messages sur la protection de l’environnement. Il a cofondé l’association Swim for Change en 2021, qui compte aujourd’hui dix membres bénévoles.
Voici une vidéo présentant cette personne dévouée à l’écologie :
Matthieu Witvoet n’en est pas à sa première aventure. Il a commencé en 2018, quand il a fait le tour du monde à vélo avec son cousin pour découvrir des solutions innovantes de recyclage des déchets plastiques. Ensuite, il s’est lancé dans la natation, sa passion depuis l’enfance. Il a traversé le lac Titicaca, au Pérou, en autonomie avec le nageur handisport Théo Curin et la nageuse Malia Metella pour dénoncer la pollution qui y sévit. Il a aussi descendu la Seine à la nage, de Paris à l’océan, en relais avec cinq coéquipiers, et organisé le record du monde de collecte de mégots. En juin 2023, il a récidivé, avec son équipe, sur 500 kilomètres pour relier Marseille à Barcelone à la nage, suivi par un bateau tirant un mégot géant qui indique « jetez-moi à la poubelle ».
Le choix du mégot n’est pas anodin. Ce si petit déchet laissé à la mer pollue 500 litres d’eau. Matthieu Witvoet veut montrer l’impact de nos gestes quotidiens sur la planète et nous inciter à changer nos habitudes. Il organise aussi des actions de nettoyage des plages et des rivières avec les habitants des lieux qu’il traverse. Il donne également des conférences, surtout en entreprise, pour partager son expérience et ses solutions pour une économie circulaire. Il vient de lancer une nouvelle initiative mêlant défi sportif et quiz sur l’écologie, appelée « The Climate Workout ».
Matthieu Witvoet ne compte pas s’arrêter là. Il a plein de projets pour 2024, qu’il garde encore secrets pour l’instant. Mais on peut s’attendre à ce qu’il continue à nous surprendre et à nous inspirer avec ses aventures aquatiques. Il fait partie des 35 « leaders positifs » repérés par « Les Echos START » et Positiv pour l’année 2024. Dans la catégorie « Influence », il s’illustre comme étant l’un de nos deux coups de coeur. Il entreprend des défis sportifs spectaculaires, notamment à la nage, et parle d’écologie dans le même temps.
Antoine de Saint-Affrique est le nouveau directeur général du groupe Danone depuis le 15 septembre 2021. Il succède à Emmanuel Faber, écarté en mars dernier après une crise de gouvernance et des résultats décevants. Qui est cet homme d’affaires français qui a fait ses armes […]
BusinessAntoine de Saint-Affrique est le nouveau directeur général du groupe Danone depuis le 15 septembre 2021. Il succède à Emmanuel Faber, écarté en mars dernier après une crise de gouvernance et des résultats décevants. Qui est cet homme d’affaires français qui a fait ses armes chez Unilever et Barry Callebaut ? Quelle est sa vision pour le géant de l’agroalimentaire ? Quels sont les défis et les opportunités qui l’attendent ?
Antoine de Saint-Affrique est né le 26 décembre 1964 à Boulogne-Billancourt. Il est diplômé de l’ESSEC en 1987 et de la Harvard Business School en 2002. Il commence sa carrière chez Unilever en 1989, où il occupe divers postes marketing jusqu’en 1997. Il rejoint ensuite Danone, où il est directeur marketing de Liebig Maille – Amora pendant trois ans. Il retourne chez Unilever en 2000, où il gravit les échelons jusqu’à devenir vice-président exécutif d’Unilever puis président de la branche « food » d’Unilever en 2011. Il y gère des marques emblématiques comme Knorr, Lipton ou Magnum.
En 2015, il quitte Unilever pour prendre la tête de Barry Callebaut, le leader européen du commerce du chocolat. Il y réalise une performance remarquable, en multipliant par deux le cours de l’action du chocolatier suisse en six ans. Il y développe également une stratégie en faveur du chocolat durable, en s’engageant à réduire l’empreinte carbone et à améliorer les conditions de vie des producteurs de cacao.
Antoine de Saint-Affrique arrive chez Danone dans un contexte difficile. Le groupe a vu son chiffre d’affaires baisser de 6,6 % en 2020, sous l’effet de la pandémie de Covid-19 qui a affecté ses ventes d’eau et de produits laitiers frais. Il a également subi une pression des actionnaires, qui ont réclamé le départ d’Emmanuel Faber et une meilleure rentabilité.
Voici le premier bilan après l’arrivée d’Antoine de Saint-Afrique :
Le nouveau PDG a présenté le 8 mars 2022 son plan stratégique « Renew Danone », qui vise à renouer avec la croissance et la création de valeur. Ce plan repose sur quatre piliers : restaurer la compétitivité de Danone dans ses catégories et géographies clés ; développer sélectivement la présence de Danone dans certains segments, canaux de distribution et géographies dont elle est absente ; identifier et préparer les axes de croissance du futur ; gérer activement le portefeuille.
Antoine de Saint-Affrique veut ainsi redynamiser les marques phares de Danone, comme Actimel, Activia ou Evian, en misant sur l’innovation, la qualité et la distribution. Il veut aussi renforcer la position de Danone sur des marchés porteurs, comme les produits végétaux, la nutrition infantile ou les pays émergents. Il veut enfin se concentrer sur les activités rentables et se séparer des activités non stratégiques ou déficitaires.
Antoine de Saint-Affrique ne renie pas le double projet économique et social de Danone, qui a été réaffirmé par l’adoption du statut d’entreprise à mission en juin 2020. Il se dit convaincu que « la performance économique et la responsabilité sociale et environnementale vont ensemble ».
Il s’engage ainsi à poursuivre les objectifs fixés par Danone en matière de santé, de climat, de ressources et d’inclusion. Il veut notamment accélérer la transition vers une agriculture régénératrice, réduire les émissions de gaz à effet de serre, favoriser l’accès à une alimentation saine et durable, et promouvoir la diversité et l’équité au sein du groupe.
Il veut également renforcer le dialogue avec les parties prenantes de Danone, notamment les salariés, les clients, les fournisseurs, les actionnaires et les ONG. Il se dit à l’écoute des attentes et des besoins de chacun, et prêt à travailler en collaboration pour construire un avenir meilleur.
Antoine de Saint-Affrique est donc le nouveau visage de Danone, un leader qui allie vision stratégique, passion pour l’exécution et engagement pour le double projet. Il a pour mission de redresser la performance du groupe, tout en préservant ses valeurs et sa mission. Il peut s’appuyer sur son expérience internationale, sa connaissance du secteur agroalimentaire et sa capacité à fédérer les équipes. Il a devant lui de nombreux défis, mais aussi de belles opportunités, pour faire de Danone une entreprise unique, dotée de solides atouts.
Thomas Buberl est le directeur général d’AXA, l’un des plus grands groupes d’assurance au monde. Depuis qu’il a pris les rênes de l’entreprise en 2016, il a engagé une profonde transformation stratégique, visant à faire d’AXA un leader de l’innovation et de la responsabilité sociale […]
FinanceThomas Buberl est le directeur général d’AXA, l’un des plus grands groupes d’assurance au monde. Depuis qu’il a pris les rênes de l’entreprise en 2016, il a engagé une profonde transformation stratégique, visant à faire d’AXA un leader de l’innovation et de la responsabilité sociale dans le secteur de l’assurance. Qui est cet homme qui veut réinventer l’assurance ? Quel est son parcours, sa vision, ses ambitions ? Voici un portrait unique et pertinent de Thomas Buberl, basé sur des informations vraies et vérifiées.
Thomas Buberl est né le 24 mars 1973 à Cologne, en Allemagne. Il est titulaire d’un master en économie de l’université WHU de Coblence (Allemagne), d’un MBA de l’université de Lancaster (Royaume-Uni) et d’un doctorat en économie de l’université de St. Gallen (Suisse). Il possède également les nationalités française et suisse.
Voici une vidéo présentant cet homme d’affaires :
Il commence sa carrière comme consultant au Boston Consulting Group, où il se spécialise dans le secteur bancaire et assurantiel. Il rejoint ensuite le groupe Winterthur en 2005, qui sera acquis par AXA l’année suivante. Il y occupe successivement les postes de directeur des opérations, puis de directeur du marketing et de la distribution. En 2008, il change de groupe et devient le directeur général de Zurich Insurance pour la Suisse.
En 2012, il revient chez AXA en tant que directeur général d’AXA Konzern AG (Allemagne) et membre du comité exécutif d’AXA. En 2015, il intègre le comité de direction d’AXA et prend la direction générale de la ligne de métier globale santé, puis en 2016, celle de la ligne de métier vie et épargne. Le 1er septembre 2016, il succède à Henri de Castries comme directeur général et administrateur d’AXA.
Thomas Buberl a pour ambition de faire d’AXA un leader mondial de l’assurance dans un monde en pleine mutation. Pour cela, il a lancé en 2016 un plan stratégique baptisé “Ambition 2020”, qui vise à accélérer la croissance du groupe, à renforcer sa rentabilité et à améliorer sa satisfaction client.
Ce plan repose sur quatre piliers : la simplification des offres et des processus, la diversification des activités et des géographies, l’innovation dans les produits et les services, et la responsabilité sociale et environnementale.
Parmi les actions phares menées par Thomas Buberl dans le cadre de ce plan, on peut citer :
Thomas Buberl est reconnu pour son style de management participatif et bienveillant, qui favorise l’écoute, le dialogue et la confiance. Il accorde une grande importance à la diversité et à l’inclusion au sein du groupe, et soutient les initiatives visant à promouvoir l’égalité des chances, la mixité et la parité.
Il est également attentif au bien-être et à l’engagement de ses collaborateurs, qu’il encourage à se former, à se développer et à s’impliquer dans des projets solidaires. Il n’hésite pas à les féliciter et à les récompenser pour leurs efforts et leurs résultats.
Il se montre également proche de ses clients, qu’il rencontre régulièrement pour comprendre leurs besoins, leurs attentes et leurs feedbacks. Il s’efforce de leur offrir une expérience personnalisée, simple et transparente.
Thomas Buberl est un leader engagé et influent, qui participe activement aux débats publics sur les enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Il est notamment membre du conseil d’administration de Bertelsmann, un groupe de médias allemand, et d’IBM, un géant américain de l’informatique.
Il est également impliqué dans plusieurs organisations internationales, telles que le Forum économique mondial, le Conseil international des affaires (ICC), le Conseil européen du risque (ERC) ou encore le Conseil mondial des affaires pour le développement durable (WBCSD).
Il s’exprime régulièrement dans les médias, les conférences ou les tribunes, pour partager sa vision, ses convictions et ses propositions sur des sujets tels que la transformation digitale, la santé, le climat, la protection sociale ou encore la relance économique.
Thomas Buberl n’est pas seulement un dirigeant d’entreprise accompli, c’est aussi un homme aux multiples facettes. Passionné de sport, il pratique régulièrement le ski, le tennis ou le golf. Il aime aussi voyager, découvrir de nouvelles cultures et apprendre de nouvelles langues. Il parle couramment l’allemand, le français et l’anglais, et a des notions d’espagnol et de chinois.
Marié et père de quatre enfants, il accorde une grande importance à sa vie familiale. Il veille à préserver du temps pour ses proches, avec qui il partage ses passions et ses valeurs.
Antoine Frérot est un chef d’entreprise français qui dirige Veolia, le leader mondial des services à l’environnement, depuis 2009. Il vient de réussir l’une des plus grandes opérations de fusion-acquisition de l’histoire industrielle française, en rachetant son rival Suez après plus d’un an de bataille. […]
Actualité BusinessAntoine Frérot est un chef d’entreprise français qui dirige Veolia, le leader mondial des services à l’environnement, depuis 2009. Il vient de réussir l’une des plus grandes opérations de fusion-acquisition de l’histoire industrielle française, en rachetant son rival Suez après plus d’un an de bataille. Qui est cet ingénieur polytechnicien qui a transformé Veolia en un géant de la transition écologique ?
Antoine Frérot est né le 3 juin 1958 à Fontainebleau. Il est diplômé de l’École polytechnique en 1977 et de l’École nationale des ponts et chaussées en 1981. Il obtient également un doctorat en mécanique des fluides et co-fonde un laboratoire de recherche sur la gestion de l’eau et de l’environnement.
Il commence sa carrière comme ingénieur chercheur au Bureau central d’études pour l’Outre-Mer (BCEOM), puis devient directeur adjoint du Centre d’études et de recherche de l’École des ponts et chaussées (CERGRENE). Il rejoint ensuite le Crédit national comme responsable d’opérations financières.
En 1990, il intègre la Compagnie générale des eaux, qui deviendra Vivendi Environnement puis Veolia Environnement. Il y occupe successivement les postes de directeur général de la Compagnie générale d’entreprises automobiles (CGEA), de directeur général de Connex (la division transport du groupe), de directeur général de Veolia Eau et de directeur général adjoint du groupe.
Voici une vidéo présentant ce dirigeant :
En 2009, Antoine Frérot est nommé président-directeur général de Veolia Environnement. Il doit faire face à une situation difficile, marquée par une dette élevée, une rentabilité faible et une diversification excessive. Il engage alors un plan de redressement qui passe par la cession d’actifs non stratégiques, la réduction des coûts, le recentrage sur les métiers de l’eau, des déchets et de l’énergie, et le développement à l’international.
Sous sa direction, Veolia se positionne comme un acteur majeur de la transition écologique, en proposant des solutions innovantes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, préserver les ressources naturelles, favoriser l’économie circulaire et améliorer la qualité de vie des populations.
En août 2020, Antoine Frérot lance une offre publique d’achat (OPA) sur Suez, son principal concurrent, dans le but de créer un champion mondial des services à l’environnement. L’opération suscite une vive opposition de la part de Suez, qui dénonce une tentative d’OPA hostile et met en avant les risques sociaux et concurrentiels du projet. Après plusieurs mois de bras de fer juridique et médiatique, les deux groupes finissent par trouver un accord en avril 2021, sous l’égide du gouvernement français. Veolia acquiert 86,22 % du capital de Suez pour 13 milliards d’euros et s’engage à céder une partie des activités de Suez à un consortium mené par le fonds Meridiam.
Le 10 janvier 2022, Antoine Frérot annonce qu’il va céder la direction générale du nouveau groupe à sa dauphine Estelle Brachlianoff, à compter du 1er juillet 2022. Il restera président du conseil d’administration. Estelle Brachlianoff, 49 ans, est diplômée de l’École centrale Paris et a rejoint Veolia en 2005. Elle était directrice générale adjointe en charge des opérations depuis 2018. Elle devient ainsi la deuxième femme à occuper cette fonction au sein du CAC 40, après Catherine McGregor chez Engie.
Antoine Frérot explique que ce changement de gouvernance vise à préparer sa succession et à assurer la continuité du projet stratégique de Veolia. Il affirme qu’il exercera pleinement son mandat de président jusqu’en 2026 et qu’il accompagnera Estelle Brachlianoff dans la mise en œuvre du rapprochement avec Suez.
Antoine Frérot est reconnu comme un chef d’entreprise visionnaire, combatif et engagé pour l’environnement. Il a su redresser Veolia et lui donner une nouvelle dimension en réalisant le rêve d’une fusion avec Suez. Il a également su préparer sa succession en confiant les rênes du groupe à une femme de confiance et d’expérience.
L’assurance habitation est un marché très concurrentiel, mais aussi très traditionnel. Les consommateurs sont souvent confrontés à des contrats complexes, des démarches fastidieuses et des remboursements aléatoires. C’est pour changer cette situation que Daniel Schreiber a cofondé Lemonade, une start-up américaine qui propose une assurance […]
BusinessL’assurance habitation est un marché très concurrentiel, mais aussi très traditionnel. Les consommateurs sont souvent confrontés à des contrats complexes, des démarches fastidieuses et des remboursements aléatoires. C’est pour changer cette situation que Daniel Schreiber a cofondé Lemonade, une start-up américaine qui propose une assurance habitation 100% en ligne, personnalisable, sans engagement et solidaire. Nous allons vous présenter le parcours de cet entrepreneur visionnaire, les caractéristiques de son offre innovante et les perspectives de développement de sa société en France et en Europe.
Daniel Schreiber est un entrepreneur israélien qui a commencé sa carrière dans le secteur des nouvelles technologies. Il a notamment été vice-président du groupe Sandisk, spécialisé dans les solutions de stockage de données, et président de Powermat, une entreprise pionnière dans la recharge sans fil des appareils mobiles.
En 2015, il décide de se lancer dans le domaine de l’assurance, qu’il considère comme un secteur à la fois immense et obsolète. Il s’associe avec Shai Wininger, un autre entrepreneur israélien qui a cofondé Fiverr, une plateforme de services en ligne. Ensemble, ils créent Lemonade, une assurance habitation entièrement digitale, basée sur l’intelligence artificielle et le modèle du “giveback”, c’est-à-dire la redistribution d’une partie des primes à des associations caritatives choisies par les clients.
Voici une vidéo en anglais présentant cet homme d’affaires israélien :
Daniel Schreiber est le président-directeur général de Lemonade, tandis que Shai Wininger en est le président et le directeur des opérations. Ils sont épaulés par Dan Ariely, un célèbre professeur de psychologie et d’économie comportementale, qui occupe le poste de Chief Behavioral Officer.
Lemonade se distingue des assureurs traditionnels par plusieurs aspects :
Lemonade a commencé son activité aux États-Unis en 2016, où elle propose une assurance habitation pour les locataires et les propriétaires, ainsi qu’une assurance vie et une assurance santé pour les animaux. Elle revendique plus d’un million de clients actifs dans ce pays.
En 2019, Lemonade a entamé son expansion internationale en se lançant en Allemagne, puis aux Pays-Bas en 2020. Elle propose dans ces deux pays une assurance de contenu et responsabilité civile.
En décembre 2020, Lemonade a fait son entrée sur le marché français, avec une offre d’assurance habitation pour les locataires, disponible à partir de 4 euros par mois. Daniel Schreiber a déclaré que la France était un pays stratégique pour Lemonade, en raison de l’obligation légale de s’assurer et de la forte demande pour le digital.
Lemonade a également des ambitions paneuropéennes. Elle envisage de se lancer dans d’autres pays du continent, comme l’Espagne, l’Italie ou le Royaume-Uni. Elle compte également élargir son offre à d’autres types d’assurance, comme l’assurance auto ou l’assurance voyage.
Lemonade est une start-up en pleine croissance, qui a levé près de 500 millions de dollars auprès d’investisseurs prestigieux comme Softbank, Allianz ou Google Ventures. Elle est cotée à la bourse de New York depuis juillet 2020, avec une valorisation de plus de 3 milliards de dollars.
Lemonade est donc un acteur à suivre de près dans le secteur de l’assurance habitation en ligne, qui pourrait bousculer les codes et les habitudes des consommateurs français.
Joseph Choueifaty est le fondateur et le CEO de Goodvest, une fintech qui propose une solution d‘investissement engagée pour l’environnement. Diplômé de l’École Hôtelière de Lausanne et du master HEC Entrepreneurs, il a eu l’idée de créer Goodvest pendant le premier confinement, en constatant le […]
FinanceJoseph Choueifaty est le fondateur et le CEO de Goodvest, une fintech qui propose une solution d‘investissement engagée pour l’environnement. Diplômé de l’École Hôtelière de Lausanne et du master HEC Entrepreneurs, il a eu l’idée de créer Goodvest pendant le premier confinement, en constatant le manque de transparence et d’impact de l’épargne traditionnelle. Avec son associé Antoine Bénéteau, il a lancé Goodvest en septembre 2021, avec la mission de rendre l’épargne et l’investissement responsable accessibles à tous. Nous vous présentons le parcours et la vision de Joseph Choueifaty, ainsi que les produits et les services innovants de Goodvest.
Goodvest est une plateforme d’investissement en ligne qui permet aux épargnants de placer leur argent dans des fonds responsables, alignés sur l’accord de Paris et qui excluent les énergies fossiles. Goodvest propose trois produits : le contrat d’assurance-vie, le plan d’épargne retraite et le compte enfant. Ces produits offrent une rentabilité attractive, tout en ayant un impact positif sur la planète et la société.
Goodvest se distingue par sa transparence et sa pédagogie. Les épargnants peuvent visualiser l’impact de leur épargne sur leur compte client, grâce à un onglet dédié qui affiche l’empreinte carbone, les émissions évitées et réduites, ainsi que la trajectoire carbone de leur portefeuille. Ils peuvent également accéder à des informations détaillées sur les fonds sélectionnés par Goodvest, qui respectent une méthodologie rigoureuse basée sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Voici une vidéo présentant cet entrepreneur :
Goodvest est également une entreprise à mission, qui s’engage à contribuer à la transition écologique et à la lutte contre le réchauffement climatique. Elle reverse 10 % de ses bénéfices à des associations partenaires qui œuvrent pour la protection de l’environnement.
Goodvest offre aux épargnants la possibilité de donner du sens à leur argent, en finançant des projets et des entreprises qui ont un impact positif sur le monde. En choisissant Goodvest, ils peuvent ainsi concilier performance financière et performance environnementale.
Goodvest offre également une simplicité d’utilisation et une flexibilité. Les épargnants peuvent ouvrir un compte en quelques minutes, sans frais d’entrée ni de sortie, et choisir le niveau de risque qui leur convient. Ils peuvent également modifier leur allocation à tout moment, sans frais ni pénalités.
Enfin, Goodvest offre une sécurité et une confiance. Les fonds sont déposés chez Generali, un assureur solide et reconnu. Les données personnelles sont protégées et sécurisées. Et les épargnants bénéficient d’un service client réactif et à l’écoute.
Depuis son lancement, Goodvest connaît une forte croissance. La fintech compte déjà plus de 10 000 clients et gère plus de 50 millions d’euros d’encours. Elle a également reçu plusieurs récompenses, dont le prix du meilleur projet entrepreneurial du master HEC Entrepreneurs, le prix du public du concours Start-up Energy Transition organisé par la Banque mondiale, ou encore le label FinTech for Tomorrow décerné par Finance for Tomorrow.
Goodvest ambitionne de devenir le leader européen de l’épargne responsable. Pour cela, elle prévoit de renforcer son équipe, qui compte actuellement une vingtaine de collaborateurs passionnés par la finance verte. Elle envisage également de développer de nouveaux produits et services, comme un robo-advisor personnalisé ou un simulateur d’impact. Et elle compte se lancer à l’international, en commençant par l’Espagne et l’Italie.
Goodvest est donc une fintech qui a tout pour réussir : une vision ambitieuse, une offre innovante, une équipe talentueuse et une communauté engagée. Si vous aussi, vous voulez investir pour votre avenir et pour la planète, n’hésitez pas à découvrir Goodvest et à rejoindre le mouvement de l’épargne responsable.