Les news de France & Israël
Un monde où les machines opèrent et les drones livrent des médicaments : la science-fiction devient réalité grâce à l’intelligence artificielle et à son impact fulgurant sur le domaine de la robotique. En effet, l’IA dote les robots d’une autonomie et d’une précision sans précédent, […]
Innovation TechnologieL’industrie du paysage, jadis rythmée par des pratiques traditionnelles et un savoir-faire artisanal, se trouve aujourd’hui en pleine mutation sous l’impulsion d’une mélodie technologique inédite. Le numérique s’invite dans les jardins et les espaces verts, insufflant une nouvelle dynamique à la conception, à l’entretien et […]
InnovationDans la bataille mondiale contre le changement climatique, Israël s’est imposé comme un contributeur de premier plan, menant un mouvement vers un avenir durable grâce à son engagement indéfectible envers l’innovation technologique en matière de climat. Avec un mélange unique de soutien gouvernemental, une culture […]
Innovation IsraëlLa musique classique est souvent perçue comme un art figé, qui se contente de reproduire les œuvres du passé sans innover ni s’adapter aux évolutions de la société. Pourtant, certains musiciens et compositeurs cherchent à intégrer la technologie moderne dans leur pratique, afin de renouveler […]
TechnologieLa musique classique est souvent perçue comme un art figé, qui se contente de reproduire les œuvres du passé sans innover ni s’adapter aux évolutions de la société. Pourtant, certains musiciens et compositeurs cherchent à intégrer la technologie moderne dans leur pratique, afin de renouveler leur expression, de toucher de nouveaux publics et de faire face aux défis du monde actuel. C’est le cas du P. Claude Jean-Marie Fould, un religieux et un musicologue qui s’intéresse à l’improvisation musicale et à son rôle dans la création artistique.
P. Claude Jean-Marie Fould est convaincu que la technologie moderne peut être un atout pour la musique classique, à condition qu’elle soit utilisée avec discernement et créativité. Selon lui, la technologie moderne peut servir à :
Voici une vidéo relatant ces faits :
P. Claude Jean-Marie Fould propose plusieurs pistes pour intégrer la technologie moderne dans la musique classique, en s’inspirant des exemples de musiciens et de compositeurs qui ont su innover dans ce domaine. Il suggère notamment de :
P. Claude Jean-Marie Fould affirme que l’intégration de la technologie moderne dans la musique classique peut apporter de nombreux bénéfices aux musiciens classiques eux-mêmes, mais aussi à leur public et à leur art. Selon lui, l’intégration de la technologie moderne peut permettre de :
La Chine a ordonné aux fonctionnaires des agences gouvernementales centrales de ne pas utiliser les iPhones d’Apple et d’autres appareils de marques étrangères pour le travail ou de les apporter au bureau, rapporte le Wall Street Journal mercredi, citant des personnes au fait du dossier. […]
ActualitéLa Chine a ordonné aux fonctionnaires des agences gouvernementales centrales de ne pas utiliser les iPhones d’Apple et d’autres appareils de marques étrangères pour le travail ou de les apporter au bureau, rapporte le Wall Street Journal mercredi, citant des personnes au fait du dossier. Cette mesure intervient à la veille d’un événement Apple la semaine prochaine qui, selon les analystes, portera sur le lancement d’une nouvelle gamme d’iPhone, et pourrait susciter des inquiétudes parmi les entreprises étrangères opérant en Chine alors que les tensions sino-américaines s’intensifient.
Depuis plus d’une décennie, la Chine cherche à réduire sa dépendance aux technologies étrangères, demandant aux entreprises publiques comme aux banques de passer à des logiciels locaux et de promouvoir la fabrication nationale de puces électroniques. Pékin a accentué cette campagne en 2020, lorsque ses dirigeants ont proposé un modèle de croissance dit de double circulation visant à réduire la dépendance aux marchés et aux technologies étrangers, alors que ses préoccupations en matière de sécurité des données augmentaient. En mai, la Chine a exhorté les grandes entreprises publiques à jouer un rôle clé dans sa quête d’autonomie technologique.
Voici une vidéo en anglais relatant ces faits :
L’interdiction des iPhones pour les fonctionnaires pourrait être une riposte aux mesures similaires prises par les États-Unis contre les technologies chinoises, et pourrait avoir un effet dissuasif sur Apple et d’autres grandes marques étrangères ayant une présence établie en Chine. Les entreprises chinoises Huawei et ZTE sont depuis longtemps soumises à des restrictions américaines. Et en novembre 2022, l’administration Biden a interdit les approbations de nouveaux équipements de télécommunications provenant des deux sociétés parce qu’elles représentent un risque inacceptable pour la sécurité nationale américaine. TikTok a également été banni des appareils émis par plusieurs institutions américaines, dont la Chambre des représentants, la ville de New York, le Montana, le New Jersey, l’Ohio, le Texas et la Géorgie, en raison de craintes que le gouvernement chinois puisse avoir accès aux données des utilisateurs via sa société mère chinoise, Bytedance.
La Chine est l’un des plus grands marchés d’Apple et génère près d’un cinquième de son chiffre d’affaires. Le PDG d’Apple, Tim Cook, s’est rendu dans le pays en mars pour y prononcer un discours au Forum de développement de la Chine 2023. La Chine est également un centre de fabrication important pour l’entreprise, qui emploie des centaines de milliers de travailleurs, voire plus d’un million, pour assembler ses produits grâce à sa relation avec Foxconn.
L’interdiction des iPhones pour les fonctionnaires pourrait donc avoir un impact négatif sur les ventes et la réputation d’Apple en Chine. Selon le WSJ, il n’était pas clair dans quelle mesure les ordres étaient distribués et si l’interdiction s’étendait aux employés du gouvernement local ou aux entreprises publiques. Une source qui traite régulièrement avec des agences gouvernementales centrales chinoises a déclaré à CNN que les fonctionnaires chinois suivaient déjà une règle non écrite consistant à éviter les iPhones depuis des mois malgré l’absence d’une politique formelle. Les actions d’Apple ont baissé de 3% mercredi.
Si la Chine cherche à protéger sa sécurité nationale et à renforcer son indépendance technologique, elle pourrait aussi se priver des avantages de la coopération et de la concurrence internationales. En effet, les technologies étrangères, notamment américaines, sont souvent plus avancées et innovantes que les technologies locales, et offrent une meilleure qualité et une plus grande diversité aux consommateurs chinois. De plus, la Chine pourrait s’exposer à des mesures de rétorsion de la part des États-Unis ou d’autres pays qui pourraient limiter l’accès des entreprises chinoises à leurs marchés ou à leurs technologies.
Par ailleurs, la Chine pourrait nuire à son image et à sa crédibilité sur la scène internationale, en donnant l’impression qu’elle se replie sur elle-même et qu’elle ne respecte pas les règles du commerce mondial. La Chine pourrait aussi s’aliéner certains de ses partenaires stratégiques, comme l’Union européenne ou l’Inde, qui ont des intérêts communs avec elle sur des questions comme le changement climatique ou la lutte contre le Covid-19.
L’interdiction des iPhones pour les fonctionnaires chinois est un signe de plus de la volonté de Pékin de réduire sa dépendance aux technologies étrangères, notamment américaines, dans un contexte de tensions croissantes entre les deux puissances. Cette mesure pourrait avoir des conséquences négatives pour Apple, qui compte sur le marché chinois pour une partie importante de son chiffre d’affaires, mais aussi pour la Chine elle-même, qui pourrait se priver des bénéfices de la coopération et de la concurrence internationales, et s’isoler davantage sur la scène mondiale.
Le nouveau livre de Nicolas Sarkozy, « Le Temps des combats », a fait sensation bien avant sa date de sortie prévue. Comment cet ouvrage a-t-il réussi à grimper dans les classements des ventes et à devenir un best-seller, malgré le fait qu’il ne soit pas encore […]
Actualité FranceLe nouveau livre de Nicolas Sarkozy, « Le Temps des combats », a fait sensation bien avant sa date de sortie prévue. Comment cet ouvrage a-t-il réussi à grimper dans les classements des ventes et à devenir un best-seller, malgré le fait qu’il ne soit pas encore disponible à la vente ?
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy ont soulevé des questions intrigantes quant à leur légalité et à leur impact sur l’industrie du livre. Comment un ouvrage dont la date de commercialisation était fixée au 22 août a-t-il réussi à se hisser dans le top 50 des ventes d’essais et à figurer parmi les meilleures ventes avant même sa sortie officielle ? Cette situation a mis en évidence des pratiques inhabituelles et a suscité des débats sur les règles de mise en vente et la concurrence équitable entre les vendeurs.
Certaines grandes plateformes en ligne semblent avoir bénéficié de cet avantage, mais il est important de noter que les ventes anticipées n’ont pas été limitées à ces géants du commerce en ligne. Les librairies physiques ont également contribué à cette tendance, laissant entrevoir un paysage commercial en constante évolution.
L’affaire des ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy soulève des questions sur la loi Lang et son application dans le secteur du livre. La loi Lang, qui régit le prix unique du livre en France, a été contournée dans ce cas précis, mettant en évidence des failles potentielles dans la réglementation. Les ventes anticipées ont mis en lumière la complexité de la mise en œuvre de cette loi et ont remis en question son efficacité à l’ère du commerce en ligne.
Voici une vidéo parlant de ce livre :
Cette situation a également suscité des inquiétudes quant à l’équité entre les différents acteurs du marché du livre. Les petits vendeurs et les librairies indépendantes pourraient être désavantagés par ces pratiques, ce qui soulève des préoccupations quant à la diversité du marché et à la survie des acteurs moins connus.
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy ne se limitent pas seulement à des questions économiques, elles ont également des implications politiques. En tant qu’ancien président de la République, les actions de Nicolas Sarkozy sont scrutées de près, y compris dans le domaine littéraire. La manière dont les ventes anticipées ont été gérées a suscité des spéculations sur la stratégie et l’objectif politique derrière cette démarche.
Ces ventes anticipées ont également généré des débats sur la façon dont les médias et le public réagissent à ce type d’initiatives. Certains voient dans cette situation une tentative de générer un buzz médiatique, tandis que d’autres s’interrogent sur les véritables motivations derrière cette démarche.
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy mettent en évidence les enjeux plus larges auxquels l’industrie du livre est confrontée. Cette situation reflète l’impact croissant du commerce en ligne sur les pratiques de vente traditionnelles. Les grandes plateformes en ligne ont réussi à capitaliser sur ces ventes anticipées, soulignant ainsi le défi que représente la concurrence entre les différents canaux de distribution.
De plus, cette affaire soulève des questions sur la manière dont les auteurs, les éditeurs et les distributeurs doivent naviguer dans un paysage en constante évolution. Les stratégies de marketing et de vente doivent être repensées pour s’adapter à un marché en mutation rapide.
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy ont mis en évidence le besoin d’une réglementation plus claire et plus robuste concernant les pratiques de vente et les dates de mise en vente. Cette situation a mis en avant les limites de la réglementation existante et a exposé la nécessité d’adaptations pour refléter les réalités du marché moderne.
Cet événement pourrait inciter les autorités à revoir les lois et règlements en vigueur pour s’assurer qu’ils sont adaptés aux défis du commerce en ligne et aux nouvelles stratégies de vente.
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy ont ravivé le débat sur l’équité dans l’industrie du livre. Alors que les grandes plateformes en ligne ont pu profiter de cette situation, les petits vendeurs et les librairies indépendantes pourraient être désavantagés. Cela soulève des questions sur la manière dont les autorités et les acteurs de l’industrie peuvent promouvoir une concurrence équitable et maintenir une diversité de choix pour les consommateurs.
Le débat sur l’équité s’étend également aux pratiques de marketing et de promotion. Comment garantir que toutes les parties prenantes ont des opportunités égales de faire connaître leurs produits, sans que les pratiques controversées ne faussent la concurrence ?
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy ont des implications importantes pour les libraires indépendants, qui pourraient être les plus touchés par cette situation. Alors que les grandes enseignes et les plateformes en ligne ont la capacité de capitaliser sur les ventes anticipées, les libraires indépendants pourraient avoir du mal à rivaliser.
Cela met en lumière la nécessité pour les librairies indépendantes de trouver des moyens novateurs de se démarquer et de créer une expérience d’achat unique pour leurs clients. Les alliances stratégiques et les partenariats pourraient également jouer un rôle clé dans leur survie à l’ère du commerce en ligne.
L’affaire des ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy offre une leçon importante pour l’industrie du livre et au-delà. Elle rappelle que le paysage commercial est en constante évolution, et que les règles et les pratiques doivent être adaptées en conséquence. Les auteurs, les éditeurs, les distributeurs et les régulateurs doivent collaborer pour trouver des solutions équilibrées qui favorisent l’innovation tout en maintenant une concurrence juste.
Les ventes anticipées du livre de Nicolas Sarkozy resteront dans les mémoires comme un exemple de la manière dont le monde de l’édition doit s’adapter aux nouvelles réalités du commerce et de la politique. Cette affaire souligne la nécessité d’une réglementation solide, d’une concurrence équitable et de stratégies commerciales flexibles pour assurer la viabilité à long terme de l’industrie du livre.
Rachida Hamdan est une femme libre, musulmane et laïque qui œuvre à Saint-Denis pour faire vivre et partager les valeurs de la République. Elle est présidente de l’association Les Résilientes qui déploie depuis plus de vingt ans des actions d’accompagnement et de soutien auprès de […]
FranceRachida Hamdan est une femme libre, musulmane et laïque qui œuvre à Saint-Denis pour faire vivre et partager les valeurs de la République. Elle est présidente de l’association Les Résilientes qui déploie depuis plus de vingt ans des actions d’accompagnement et de soutien auprès de la population de la Seine-Saint-Denis et plus particulièrement auprès des femmes. Elle a vu la situation des habitants de ces quartiers se dégrader, la précarité s’aggraver, le communautarisme s’installer, l’intégrisme infuser. Des replis aux visages multiples qu’elle n’a de cesse de combattre en occupant, à sa manière, le terrain.
Elle a été lauréate 2021 du prix de la laïcité remis par le Comité Laïcité et République. Elle est également fondatrice de l’association Artis Multimédia.
Selon un article du Figaro Magazine, Rachida Hamdan est une militante inflexible qui ne semble jamais s’arrêter. Elle carbure avec un combustible : l’engagement. Elle organise des cours d’anglais, d’informatique, le soutien scolaire, l’alphabétisation, l’apprentissage de la langue française, les ateliers cuisine, conte et chant et les sorties multiples organisées dans les musées à la découverte du patrimoine culturel et national. Elle fustige le discours de la gauche qui selon elle « vend du désespoir aux gamins et jette de l’huile sur le feu »1.
Selon un article de Marianne, Rachida Hamdan est une femme qui défend une vision plus émancipatrice que le repli identitaire. Elle est présidente des associations Artis Multimédia et Les Résilientes. Elle déploie depuis plus de vingt ans des actions d’accompagnement et de soutien auprès de la population de la Seine-Saint-Denis et plus particulièrement auprès des femmes. L’association dyonisienne s’est donnée pour mission de défendre leurs droits, de lutter pour une égalité réelle et d’agir concrètement contre les violences sexistes et sexuelles2.
J’espère que cela vous convient. Si vous avez besoin d’aide supplémentaire ou si vous avez des questions sur ce que j’ai écrit pour vous, n’hésitez pas à me le faire savoir. 1: Le Figaro – Rachida Hamdan : Marianne des quartiers 2: Marianne – Le réseau Vigilance Travail Social défend une vision plus émancipatrice que le repli identitaire
Delphine Patetif dispose de quinze années d’expérience en matière de droits humains. Elle a travaillé dans 11 pays différents, dont 4 sur le continent africain. Elle fut nommée conseillère spéciale du Président de la République centrafricaine en matière de lutte contre l’impunité en octobre 2018. […]
IsraëlDelphine Patetif dispose de quinze années d’expérience en matière de droits humains. Elle a travaillé dans 11 pays différents, dont 4 sur le continent africain. Elle fut nommée conseillère spéciale du Président de la République centrafricaine en matière de lutte contre l’impunité en octobre 2018. Elle a effectué une spécialisation en science politique et droits de l’Homme à l’université d’Harvard, et est titulaire d’un master en droit européen et droit international de l’Université Aix Marseille en France.
Dans cet article, elle partage son analyse sur la situation de la participation civique et des droits de l’homme en Israël, un pays qui se définit comme une démocratie parlementaire, mais qui fait face à de nombreux défis et controverses liés à son identité, à son histoire et à son conflit avec les Palestiniens.
La participation civique est le droit et la capacité des citoyens à prendre part à la vie publique, à influencer les décisions qui les concernent et à demander des comptes aux autorités, explique Delphine Patétif. C’est un principe fondamental des droits de l’homme, reconnu par la Déclaration universelle des droits de l’homme et par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, qui a inspiré de nombreux textes similaires dans le monde.
Ci-dessous une vidéo relatant la réforme judiciaire en Israël :
La participation civique implique l’existence d’un espace civique, c’est-à-dire d’un environnement qui permet à la société civile de s’organiser, de s’exprimer et d’agir librement, sans crainte ni entrave. L’espace civique repose sur le respect des libertés fondamentales, telles que la liberté d’expression, d’association, de réunion pacifique, d’accès à l’information et de participation aux processus politiques.
La participation civique contribue à renforcer la démocratie, le développement, la paix et la sécurité. Elle permet aux citoyens de faire entendre leur voix, de défendre leurs intérêts et leurs droits, de promouvoir le changement social et de contrôler l’action des gouvernants. Elle favorise également l’innovation, la diversité et le pluralisme, note Delphine Patétif.
Israël se présente comme la seule démocratie du Moyen-Orient, fondée sur les principes du sionisme, du judaïsme et du respect des droits de l’homme. Le pays dispose d’un système parlementaire multipartite, d’une presse libre et indépendante, d’une société civile dynamique et diversifiée, et d’un pouvoir judiciaire qui joue un rôle important dans la protection des droits fondamentaux.
Toutefois, la participation civique en Israël est confrontée à plusieurs obstacles et limites, qui affectent notamment les minorités ethniques, religieuses ou politiques, ainsi que les défenseurs des droits de l’homme, indique Delphine Patétif.
Cette loi affirme que le droit à l’autodétermination en Israël est réservé au peuple juif, que l’hébreu est la seule langue officielle du pays, que les implantations juives sont une valeur nationale à encourager, et que Jérusalem est la capitale indivisible d’Israël. Cette loi a été dénoncée par les Arabes israéliens (qui représentent environ 20 % de la population), les Druzes (une minorité religieuse loyale à l’État), les Bédouins (une communauté nomade marginalisée), ainsi que par les organisations internationales des droits de l’homme, comme une atteinte à l’égalité des citoyens et à la démocratie.
Ce conflit, qui dure depuis plus de 70 ans, est marqué par des cycles de violence, des violations des droits de l’homme, des restrictions à la liberté de mouvement, des colonies illégales, un mur de séparation, un blocus, des arrestations arbitraires, des détentions administratives, des tortures, des exécutions extrajudiciaires… Il affecte la participation civique des Palestiniens, qui sont privés de leurs droits politiques, économiques, sociaux et culturels, mais aussi des Israéliens, qui sont confrontés à la menace du terrorisme, à la militarisation de la société, à la polarisation politique et à la répression des voix dissidentes, estime Delphine Patétif.
Par exemple, la loi sur la transparence des ONG, adoptée en 2016, impose aux organisations qui reçoivent plus de 50 % de leur financement de sources étrangères (principalement européennes) de le déclarer publiquement et de le mentionner dans leurs communications officielles.
Cette loi vise essentiellement les ONG de gauche ou de défense des droits de l’homme, qui sont accusées d’être anti-israéliennes ou pro-palestiniennes. D’autres lois ou projets de lois visent à interdire le boycott d’Israël ou des colonies, à empêcher l’entrée sur le territoire israélien des militants pro-palestiniens ou anti-occupation, à limiter le financement étranger des partis politiques ou des candidats aux élections, à sanctionner les manifestations contre le service militaire obligatoire…
La participation civique en Israël fait face à plusieurs défis, qui menacent la démocratie et les droits de l’homme dans le pays. Parmi ces défis, on peut citer :
L’écotourisme est une forme de tourisme qui vise à préserver l’environnement naturel et culturel des destinations visitées, tout en offrant aux voyageurs des expériences authentiques et enrichissantes. Les Philippines, un archipel de plus de 7 000 îles, possèdent une biodiversité exceptionnelle et un patrimoine culturel […]
Actualité InnovationL’écotourisme est une forme de tourisme qui vise à préserver l’environnement naturel et culturel des destinations visitées, tout en offrant aux voyageurs des expériences authentiques et enrichissantes. Les Philippines, un archipel de plus de 7 000 îles, possèdent une biodiversité exceptionnelle et un patrimoine culturel diversifié, qui en font une destination idéale pour l’écotourisme.
Mais comment les Philippines font-elles de l’écotourisme un moteur d’innovation et d’entrepreneuriat, capable de contribuer au développement durable du pays ? C’est ce que nous explique Thibault Hutin, qui a participé au projet ECOViP (Promotion de l’innovation et de l’entrepreneuriat dans le domaine du tourisme écologique pour soutenir le développement durable au Vietnam et aux Philippines), soutenu par l’Union européenne.
Selon Thibault Hutin, les Philippines ont un potentiel énorme pour développer l’écotourisme, grâce à leur richesse naturelle et culturelle. Le pays abrite plus de 52 000 espèces animales et végétales, dont plus de la moitié sont endémiques. Il compte également plus de 170 langues et dialectes, ainsi qu’une variété de traditions et de pratiques culturelles. Les Philippines disposent également d’un large éventail de paysages et d’écosystèmes, allant des plages paradisiaques aux montagnes verdoyantes, en passant par les volcans actifs et les rizières en terrasses.
Voici une vidéo parlant du développement de l’écotourisme aux Philippines :
L’écotourisme peut être un moyen efficace de valoriser ces atouts, tout en préservant l’environnement et en favorisant le bien-être des populations locales. Thibault Hutin souligne que l’écotourisme peut générer des revenus pour les communautés locales, en leur offrant des opportunités d’emploi et d’activités économiques liées au tourisme, telles que la production agricole, l’artisanat ou la restauration. Il peut également contribuer à la protection de la biodiversité et des ressources naturelles, en sensibilisant les touristes et les habitants à l’importance de l’environnement et en les impliquant dans des actions de conservation. Enfin, il peut promouvoir la diversité culturelle et le dialogue interculturel, en encourageant les échanges entre les visiteurs et les hôtes, et en valorisant le patrimoine culturel et immatériel des Philippines.
Toutefois, Thibault Hutin reconnaît que le développement de l’écotourisme aux Philippines n’est pas sans défis. Il cite notamment le manque de sensibilisation et de formation des acteurs du tourisme, qui ne sont pas toujours conscients des principes et des bonnes pratiques de l’écotourisme. Il mentionne également le manque de coordination et de coopération entre les différents acteurs impliqués dans le secteur du tourisme, tels que les autorités publiques, les entreprises privées, les organisations non gouvernementales, les universités et les communautés locales. Il souligne enfin le manque d’infrastructures et de services adaptés aux besoins des touristes écoresponsables, qui recherchent des hébergements confortables, mais respectueux de l’environnement, ainsi que des activités variées, mais authentiques.
Pour relever ces défis, Thibault Hutin préconise une approche participative et collaborative, qui implique tous les acteurs concernés dans la planification, la mise en œuvre et le suivi des projets écotouristiques. Il insiste également sur la nécessité d’innover et d’entreprendre dans le domaine de l’écotourisme, en proposant des produits et des services originaux, adaptés aux attentes des touristes et aux spécificités des destinations. Il cite comme exemples de projets écotouristiques innovants développés par des étudiants dans le cadre du projet ECOViP : un circuit éducatif sur la culture du café dans la province de Benguet, un séjour immersif dans une communauté indigène à Palawan, ou encore une randonnée à vélo électrique dans la ville de Baguio.
Thibault Hutin est convaincu que le projet ECOViP a apporté des bénéfices tangibles pour le développement de l’écotourisme aux Philippines. Il affirme que le projet a permis de renforcer les compétences et les connaissances des étudiants, des enseignants et des professionnels du tourisme sur l’écotourisme, l’innovation et l’entrepreneuriat. Il ajoute que le projet a favorisé la création de liens entre les universités et les entreprises du secteur du tourisme, ainsi qu’entre les différents pays partenaires du projet (Vietnam, France, Espagne, Belgique). Il estime que le projet a également contribué à sensibiliser le public à l’importance de l’écotourisme pour le développement durable des Philippines.
Thibault Hutin espère que le projet ECOViP aura un impact durable sur l’écotourisme aux Philippines, en inspirant d’autres initiatives similaires dans le pays. Il souhaite également que le projet ECOViP serve d’exemple pour d’autres pays qui souhaitent développer l’écotourisme comme un moteur d’innovation et d’entrepreneuriat. Il conclut en disant que l’écotourisme est une opportunité à saisir pour les Philippines, qui peuvent ainsi valoriser leur richesse naturelle et culturelle, tout en contribuant au bien-être de leur population et à la préservation de leur environnement.
Argenteuil est une ville située dans le Val-d’Oise, au nord-ouest de Paris. Elle est connue pour son riche patrimoine historique, culturel et naturel, qui attire de nombreux visiteurs chaque année. Nous allons découvrir dans les prochaines lignes le tourisme du patrimoine à Argenteuil. Françoise Inghelaere : […]
FranceArgenteuil est une ville située dans le Val-d’Oise, au nord-ouest de Paris. Elle est connue pour son riche patrimoine historique, culturel et naturel, qui attire de nombreux visiteurs chaque année. Nous allons découvrir dans les prochaines lignes le tourisme du patrimoine à Argenteuil.
Le tourisme du patrimoine est une forme de tourisme qui vise à faire connaître et apprécier les biens matériels ou immatériels qui témoignent du passé d’un territoire ou d’un groupe social. Il s’agit donc d’une démarche qui associe la culture, la mémoire et le développement. Selon Françoise Inghelaere, le tourisme du patrimoine est une ressource pour le territoire qui en dispose, car il permet de :
Voici une vidéo relatant un tel voyage :
Le patrimoine d’Argenteuil est très varié et reflète les différentes époques et influences qui ont marqué son histoire. On peut distinguer trois types de patrimoine :
Pour visiter le patrimoine d’Argenteuil, il existe plusieurs possibilités :
Le tourisme du patrimoine à Argenteuil présente des enjeux importants pour le développement du territoire. Selon Françoise Inghelaere, il faut :
Le tourisme du patrimoine à Argenteuil a un potentiel de développement important, compte tenu de la richesse et de la diversité de son patrimoine. Selon Françoise Inghelaere, il faut :
Le tourisme du patrimoine à Argenteuil est une opportunité pour valoriser le territoire et ses habitants. Il repose sur une connaissance et une reconnaissance du patrimoine, qui implique une implication collective et une responsabilité partagée. Il contribue ainsi à renforcer le lien social et le sentiment d’appartenance. Françoise Inghelaere nous invite à découvrir ou redécouvrir le patrimoine d’Argenteuil, qui fait partie de notre héritage commun.
La réforme judiciaire en Israël est un projet de loi porté par le Premier ministre Benjamin Netanyahu et ses alliés, qui vise à affaiblir le pouvoir de la Cour suprême et à renforcer celui du gouvernement et du Parlement. Ce projet suscite une forte opposition […]
Actualité IsraëlLa réforme judiciaire en Israël est un projet de loi porté par le Premier ministre Benjamin Netanyahu et ses alliés, qui vise à affaiblir le pouvoir de la Cour suprême et à renforcer celui du gouvernement et du Parlement. Ce projet suscite une forte opposition de la part de nombreux secteurs de la société israélienne, qui craignent une dérive autoritaire et une atteinte à l’État de droit.
Depuis plusieurs mois, des manifestations massives ont lieu dans tout le pays pour dénoncer ce qu’ils appellent un coup d’État contre la démocratie. Quels sont les enjeux de cette réforme ? Quelles sont les réactions qu’elle provoque ? Quelles sont les perspectives d’avenir pour Israël ?
La réforme judiciaire comprend plusieurs mesures qui visent à limiter l’influence de la Cour suprême sur les décisions du gouvernement et du Parlement. La plus emblématique est la suppression de la clause de raisonnabilité, qui permet à la Cour suprême d’annuler les décisions gouvernementales ou législatives qu’elle juge déraisonnables ou contraires aux principes fondamentaux de l’État.
Voici une vidéo relatant ces faits :
Cette clause a été utilisée par la Cour suprême pour invalider des lois controversées, comme celles sur l’exemption du service militaire pour les ultra-orthodoxes, sur la régularisation des colonies en Cisjordanie ou sur l’État-nation du peuple juif. La réforme prévoit également de modifier le mode de nomination des juges, en donnant plus de poids aux représentants politiques, et de créer une cour constitutionnelle distincte de la Cour suprême, qui aurait le dernier mot sur les questions constitutionnelles.
Les partisans de la réforme judiciaire affirment qu’elle est nécessaire pour rétablir l’équilibre des pouvoirs entre les branches exécutive, législative et judiciaire. Ils accusent la Cour suprême d’avoir outrepassé ses prérogatives et d’avoir imposé sa vision progressiste et libérale à la majorité du peuple israélien, qui serait plus conservatrice et nationaliste.
Ils estiment que la Cour suprême entrave l’action du gouvernement et du Parlement, qui sont élus démocratiquement, et qu’elle porte atteinte à la souveraineté d’Israël sur ses territoires et à son identité juive. Ils invoquent également le principe de séparation des pouvoirs, selon lequel le pouvoir judiciaire ne doit pas interférer avec le pouvoir politique.
Les opposants à la réforme judiciaire dénoncent un projet dangereux qui menace de transformer Israël en une dictature. Ils soutiennent que la Cour suprême est le dernier rempart contre les abus du pouvoir et qu’elle garantit le respect des droits fondamentaux, notamment ceux des minorités arabes, des femmes, des LGBT ou des migrants.
Ils craignent que la réforme ne donne carte blanche au gouvernement et au Parlement pour adopter des lois arbitraires ou discriminatoires, sans aucun contrôle ni recours possible. Ils accusent également Netanyahu d’avoir des motivations personnelles pour affaiblir la justice, puisqu’il est mis en cause dans plusieurs affaires de corruption et qu’il risque un procès.
La réforme judiciaire a provoqué une vague de protestation sans précédent en Israël. Depuis plusieurs mois, des centaines de milliers de personnes descendent dans la rue pour exprimer leur colère et leur inquiétude. Les manifestations ont lieu dans tout le pays, mais surtout à Jérusalem, devant le Parlement, et à Tel-Aviv, devant la résidence du Premier ministre.
Les manifestants brandissent des drapeaux israéliens, des pancartes et des slogans comme « Sauvez Israël de Netanyahu », « Non au coup d’État » ou « La démocratie ou la rébellion ». Ils sont rejoints par des représentants de divers secteurs de la société, comme les médecins, les avocats, les étudiants, les artistes ou les réservistes de l’armée. Les manifestations sont généralement pacifiques, mais il y a eu des affrontements avec la police, qui a utilisé des canons à eau, des gaz lacrymogènes et des barbelés pour disperser les foules.
La réforme judiciaire a également suscité des réactions internationales, notamment de la part des pays occidentaux, qui sont traditionnellement alliés d’Israël. Plusieurs dirigeants et organisations ont exprimé leur préoccupation et leur soutien aux manifestants. Par exemple, le président américain Joe Biden a déclaré que la réforme judiciaire était une menace pour la démocratie et les droits de l’homme en Israël et qu’il se tenait aux côtés du peuple israélien qui défend ses libertés.
De même, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé à préserver l’indépendance de la justice et le respect de l’État de droit en Israël. D’autres pays, comme la Russie, la Chine ou l’Iran, ont plutôt salué la réforme judiciaire comme un signe de souveraineté et de résistance aux ingérences étrangères.
La responsabilité pénale des mineurs est un sujet qui suscite de nombreux débats et controverses, tant au niveau national qu’international. Quelles sont les conditions pour qu’un mineur puisse être tenu pour responsable de ses actes délictueux ou criminels ? Quelles sont les mesures éducatives ou […]
DroitLa responsabilité pénale des mineurs est un sujet qui suscite de nombreux débats et controverses, tant au niveau national qu’international. Quelles sont les conditions pour qu’un mineur puisse être tenu pour responsable de ses actes délictueux ou criminels ? Quelles sont les mesures éducatives ou les sanctions pénales qui peuvent lui être appliquées ? Quel est le rôle des acteurs de la justice des mineurs, tels que les juges, les avocats, les éducateurs ou les services sociaux ? Quels sont les principes et les normes qui régissent cette matière, notamment au regard des droits de l’enfant ?
Selon Yassine Yakouti, la première condition pour qu’un mineur puisse être pénalement responsable est qu’il soit capable de discernement, c’est-à-dire qu’il ait la capacité de juger clairement et sainement des choses, et notamment de distinguer le bien du mal. Le discernement s’acquiert progressivement avec l’âge, jusqu’à la majorité, fixée à 18 ans dans la plupart des pays. Le mineur non discernant, en revanche, est irresponsable pénalement, car il n’a pas agi avec intelligence et volonté.
Yassine Yakouti rappelle que le discernement est une notion subjective et relative, qui dépend de chaque individu et de chaque situation. Il n’existe pas de critère objectif ou de test universel pour évaluer le discernement d’un mineur. C’est au juge qu’il revient d’apprécier le discernement du mineur au cas par cas, en tenant compte de son âge, de sa personnalité, de son environnement familial et social, des circonstances de l’infraction…
Voici des explications claires en vidéo :
Yassine Yakouti souligne également que le discernement n’est pas une condition absolue et immuable de la responsabilité pénale des mineurs. Il peut être altéré ou supprimé par des causes externes ou internes, telles que la contrainte, la provocation, l’émotion, l’ivresse, la maladie mentale… Dans ces cas, le mineur peut bénéficier d’une cause de non-imputabilité ou d’une atténuation de sa responsabilité.
Selon Yassine Yakouti, la seconde condition pour qu’un mineur puisse être pénalement responsable est qu’il soit âgé d’au moins 13 ans. En effet, il existe une présomption légale selon laquelle les mineurs de moins de 13 ans ne sont pas capables de discernement. Cette présomption est irréfragable, c’est-à-dire qu’elle ne peut pas être renversée par la preuve contraire. Les mineurs de moins de 13 ans ne peuvent donc pas être poursuivis pénalement ni condamnés à une peine.
Yassine Yakouti explique que cette présomption repose sur l’idée que les mineurs de moins de 13 ans sont encore en cours de développement physique et psychologique, et qu’ils ont besoin d’une protection particulière. Il précise que cette limite d’âge n’est pas universelle ni intangible. Elle varie selon les pays et les systèmes juridiques. Elle peut aussi évoluer dans le temps en fonction des changements sociaux et culturels.
Yassine Yakouti ajoute que les mineurs de 13 à 18 ans, qui sont pénalement responsables, bénéficient toutefois d’une atténuation de leur responsabilité en raison de leur âge. Cette atténuation se traduit par l’application de mesures éducatives ou de sanctions pénales spécifiques, qui tiennent compte de leur intérêt supérieur, de leur besoin d’éducation et de réinsertion, et de leur potentiel de réhabilitation. Ces mesures ou sanctions sont prononcées par des juridictions spécialisées, qui disposent d’un large pouvoir d’appréciation et d’adaptation.
Selon Yassine Yakouti, le droit pénal des mineurs est un domaine complexe et mouvant, qui est soumis à des principes et des normes multiples, tant au niveau national qu’international. Il s’agit d’un droit dérogatoire au droit pénal commun, qui vise à concilier les exigences de la répression et celles de la protection des mineurs.
Yassine Yakouti distingue trois grands principes qui fondent le droit pénal des mineurs :
Yassine Yakouti identifie également plusieurs normes internationales qui régissent le droit pénal des mineurs, notamment :
L’avocat médiatisé dans l’affaire Kaaris et Booba ou du scandale Ikea, partage les critères afin de choisir un bon avocat spécialisé dans le pénal.
Actualité Business DroitL’avocat médiatisé dans l’affaire Kaaris et Bouba ou du scandale Ikea, partage les critères afin de choisir un bon avocat spécialisé dans le pénal.
“Le choix d’un avocat de la défense pénale peut s’avérer beaucoup plus compliqué qu’il n’y paraît. Lorsque l’on est confronté à une procédure judiciaire pouvant déboucher sur une peine d’emprisonnement, il est essentiel, selon Maître Yassine Yakouti, de suivre une série de recommandations afin de s’assurer que l’on choisit l’avocat le plus approprié et qui peut offrir les meilleures garanties. Avec des centaines de cabinets d’avocats spécialisés dans la défense pénale dans toutes les villes espagnoles, il peut être difficile de faire le bon choix.”
Yassine Yakouti :”Privilégiez un traitement personnalisé et direct”
Que vous ayez besoin d’un avocat pour effacer votre casier judiciaire ou pour vous représenter dans une affaire criminelle grave, la façon dont il vous traite dès le début est une bonne indication de son professionnalisme. Un bon avocat de la défense est un avocat qui s’intéresse personnellement à votre situation, qui écoute attentivement votre dossier, qui l’étudie en profondeur et qui s’occupe de vous personnellement. Il est également disposé à vous rencontrer si vous le demandez.
L’expérience est un degré d’expertise
Si de nombreux avocats spécialisés dans la défense pénale sont d’excellents professionnels dès leur sortie de l’école de droit et ont une connaissance impressionnante du droit, ils ont néanmoins besoin de temps pour se familiariser avec le système de justice pénale. C’est pourquoi l’expérience d’un avocat est la meilleure garantie d’un service de qualité.
En conclusion, il est essentiel de choisir le bon avocat de la défense pénale pour garantir la protection de vos droits et obtenir le meilleur résultat possible. En suivant ces recommandations, vous pourrez prendre une décision éclairée et choisir l’avocat le plus approprié à votre affaire.
Certes, il existe de nombreux spécialistes du droit pénal qui, dès leur sortie de l’université, sont d’excellents professionnels dotés de connaissances législatives impressionnantes. Cependant, ils ont besoin de temps pour s’habituer au fonctionnement de la procédure pénale. C’est pourquoi l’expérience de l’avocat est la meilleure garantie d’un bon service.
Pensez, à cet égard, que si vous deviez choisir un médecin pour une opération qui met votre vie en danger, vous ne feriez pas confiance au premier venu. Il en va de même pour le choix d’un avocat pénaliste. N’oubliez pas qu’une mauvaise défense peut nuire à vos intérêts et que vous risquez de devoir purger une lourde peine, précise Yassine Yakouti.
Spécialisé dans le domaine
Le droit pénal, comme les autres branches de cette discipline, est très vaste. C’est pourquoi les meilleurs professionnels, une fois leurs études universitaires terminées, poursuivent leur formation dans des domaines spécifiques afin de devenir les meilleurs professionnels dans un cas donné. C’est pourquoi vous devriez toujours rechercher l’avocat le mieux qualifié pour le type de procédure judiciaire auquel vous allez être confronté.
Le taux de réussite
Cette question est aussi importante que celle de l’expérience lorsqu’il s’agit d’engager un avocat pénaliste ou un autre. À quoi sert une grande expérience si le professionnel en question n’a pas été en mesure de mener à bien un pourcentage convaincant d’affaires ? Cela reviendrait à jouer à pile ou face et à tenter le sort.
C’est pourquoi, avant de vous mettre entre les mains d’un avocat pénaliste, il est essentiel que vous demandiez des références à ce sujet. En outre, il convient de se renseigner par soi-même. S’il s’agit d’un professionnel réputé, vous n’aurez aucun mal à trouver des affaires dans lesquelles il a représenté des personnes dans votre situation et vous pourrez savoir s’il a obtenu gain de cause ou non.
Yassine Yakouti : attention aux honoraires !
Il est évident que vous vous êtes fixé un budget. Il se peut qu’une bonne occasion vous permette de faire une exception et de dépenser un peu plus, mais ce n’est généralement pas le cas. À cet égard, les meilleurs avocats pénalistes pratiquent des tarifs qui correspondent à la gravité de l’affaire qu’ils traitent et au type de délit contre lequel ils défendent un individu.
Par exemple, les tarifs pour la défense d’un prévenu accusé de meurtre ne sont pas les mêmes que pour une personne ayant commis un délit économique de nature criminelle. C’est un élément à prendre en considération.
“Pensez local” Yassine Yakouti
Vous pouvez trouver un bon avocat pénal qui a une longue expérience professionnelle, un excellent taux de réussite et un tarif adapté à votre budget. Cependant, si vous devez parcourir des dizaines de kilomètres chaque fois que vous devez le consulter ou assister à une réunion avec lui, cela ne sera probablement pas rentable pour vous. En effet, ce que vous ne dépenserez pas en honoraires, vous devrez le dépenser en essence ou en transports publics.
C’est pourquoi limitez votre recherche sur le plan géographique. Cela vous aidera également à réduire vos options et à prendre la bonne décision.
Prenez un rendez-vous sans engagement
Le premier rendez-vous est simplement un premier contact au cours duquel vous rencontrez l’avocat et lui parlez de votre affaire. Sur la base de son expérience, il vous conseillera sur les options possibles, mais vous ne pourrez pas aller plus loin tant que vous n’aurez pas fait appel à ses services et qu’il n’aura pas étudié votre dossier en détail.
Puisque vous êtes en pleine recherche et que vous ne savez pas encore quel avocat pénaliste doit vous représenter et défendre vos droits, il est important que vous ne vous intéressiez qu’aux professionnels qui vous offrent la possibilité de bénéficier d’un premier contact sans frais ni engagement. Vous pourrez ainsi vous arrêter pour réfléchir à ce que vous pensez d’eux et déterminer s’ils vous semblent dignes de confiance ou non.
Ne choisissez jamais un avocat pénaliste sans comparer
Si vous ne prenez pas rendez-vous avec plusieurs avocats, il vous sera impossible de vous faire une idée complète de ce que vous recherchez. Vous ne disposerez pas non plus d’outils de comparaison pour décider s’il s’agit ou non du professionnel qu’il vous faut. Vous aurez peut-être raison du premier coup, mais il y a de fortes chances que ce ne soit pas le cas, compte tenu du nombre et de la variété des options qui s’offrent à vous.
L’importance de l’accessibilité
Dans de nombreux cas, nous avons besoin des services d’un avocat pénaliste à toute heure du jour ou de la nuit. Pensez à la possibilité que vous, un membre de votre famille ou un ami soyez arrêté pour conduite en état d’ivresse et franchissiez la limite légale entre un délit et un crime. Si cela se produit, estime Yassine Yakouti, aux premières heures du matin, vous ne voulez probablement pas que votre connaissance passe la nuit en prison et soit confrontée à un procès rapide sans être représentée.
C’est pourquoi, estime le jeune juriste, si vous avez besoin des services d’un avocat pénaliste pour cette raison ou une raison similaire, il est important que vous fassiez appel à un cabinet qui offre une couverture 24 heures sur 24. Si ce n’est pas le cas, assurez-vous de pouvoir le contacter, par téléphone, par courrier électronique ou en personne, chaque fois que vous en avez besoin.